C'est chez Franck Leblanc que le jeune professionnel de 21 ans, passé par une école de jockeys à Laval, a posé ses valises à Grosbois, pour le meeting d'hiver.
Originaire de Loudun, dans la Vienne, Guillaume Martin a fait ses débuts chez Yves Dreux. “J'ai commencé chez lui à 15 ans. C'était une expérience formidable. Il m'a tout appris. Yves m'a de suite fait confiance pour monter et ça a été un déclic. C'est grâce à lui que j'ai voulu faire ce métier à fond.”
Pendant un an et demi, il a également travaillé au sein de l'écurie Luck, sous l'œil attentif de Jean-Luc Dersoir. L'entraîneur lui a donné sa chance de courir des groupes I, dès l'âge de 20 ans, avec la jument Sakura Jiel dans le Prix de l'Île-de-France puis le Prix de Cornulier.
L'hiver dernier, avant de passer l'été chez son oncle Loïc Martin, Guillaume a décidé de proposer ses services à Franck Leblanc. “Comme je sais qu'il est fortement sollicité, j'ai anticipé. J'étais curieux de voir comment il travaille ses chevaux et j'ai reçu une réponse dans les jours qui ont suivi. Aujourd'hui, je suis serein. Il a confiance en son personnel. C'est une très bonne écurie.”
Quel parcours pour ce jeune homme issu d'une famille bien connue en amateurs ! Il compte aujourd'hui près de 700 courses et 72 victoires, dont 11 cette année. Ambitieux et motivé, il a connu également la réussite avec Arnaud Desmottes, malgré une concurrence rude, à un haut niveau. “Pas facile de se faire une place quand on est un jeune qui vient de passer pro... On préfère souvent un jockey plus expérimenté. C'est dommage, mais c'est la dure loi de ce métier...”, explique-t-il. “Mes plus belles victoires ont été évidemment obtenues à Vincennes. J'ai un cheval en retard de gains, Asis Bot Eur Moel, qui me tient particulièrement à cœur et avec lequel j'ai beaucoup d'espoir.” À lui de les concrétiser cet hiver.
Originaire de Loudun, dans la Vienne, Guillaume Martin a fait ses débuts chez Yves Dreux. “J'ai commencé chez lui à 15 ans. C'était une expérience formidable. Il m'a tout appris. Yves m'a de suite fait confiance pour monter et ça a été un déclic. C'est grâce à lui que j'ai voulu faire ce métier à fond.”
Pendant un an et demi, il a également travaillé au sein de l'écurie Luck, sous l'œil attentif de Jean-Luc Dersoir. L'entraîneur lui a donné sa chance de courir des groupes I, dès l'âge de 20 ans, avec la jument Sakura Jiel dans le Prix de l'Île-de-France puis le Prix de Cornulier.
L'hiver dernier, avant de passer l'été chez son oncle Loïc Martin, Guillaume a décidé de proposer ses services à Franck Leblanc. “Comme je sais qu'il est fortement sollicité, j'ai anticipé. J'étais curieux de voir comment il travaille ses chevaux et j'ai reçu une réponse dans les jours qui ont suivi. Aujourd'hui, je suis serein. Il a confiance en son personnel. C'est une très bonne écurie.”
Quel parcours pour ce jeune homme issu d'une famille bien connue en amateurs ! Il compte aujourd'hui près de 700 courses et 72 victoires, dont 11 cette année. Ambitieux et motivé, il a connu également la réussite avec Arnaud Desmottes, malgré une concurrence rude, à un haut niveau. “Pas facile de se faire une place quand on est un jeune qui vient de passer pro... On préfère souvent un jockey plus expérimenté. C'est dommage, mais c'est la dure loi de ce métier...”, explique-t-il. “Mes plus belles victoires ont été évidemment obtenues à Vincennes. J'ai un cheval en retard de gains, Asis Bot Eur Moel, qui me tient particulièrement à cœur et avec lequel j'ai beaucoup d'espoir.” À lui de les concrétiser cet hiver.