Après vingt-quatre mois de travaux, la piste en gazon de l'hippodrome de la Crau avait fière allure, avant le début des opérations. Mais encore lui fallait-il passer avec succès le baptême du feu, celui des pelotons. Et de ce point de vue, les jockeys sont unanimes. Pour Franck Blondel, associé à Weekfair, lauréat de l'épreuve d'ouverture : “La piste est “nickel”. Les tournants sont bien profilés et le gazon parfait compte tenu de la chaleur qui règne.”
Même satisfaction chez Stéphane Richardot, le président des jockeys du Sud-Est : “Il faut espérer que le gazon va rester de la même qualité jusqu'à la fin de l'année. Certes, il y a des petites projections de sable, mais la piste tient bien aux pieds des chevaux. C'est parfait, nous nous sentons en sécurité.”
Même analyse chez Keven Borgel qui, en sa qualité de président des entraîneurs, note : “Le retour d'information, qui provient du vestiaire des jockeys, s'avère positif. La piste leur paraît correcte et satisfaisante.”
Quant au maître d'œuvre, le président Yves Jacquin, il se dit soulagé de cette “inauguration” : “Non, je n'avais pas trop de pression, car je savais que le travail avait été bien fait en amont. Je tiens à remercier mon chef des pistes, Éric Duquoc qui, depuis six ans, fait montre de compétences et de dévouement. Et si aujourd'hui notre équipement donne entière satisfaction, c'est aussi et surtout à lui qu'en revient le mérite.”
Même satisfaction chez Stéphane Richardot, le président des jockeys du Sud-Est : “Il faut espérer que le gazon va rester de la même qualité jusqu'à la fin de l'année. Certes, il y a des petites projections de sable, mais la piste tient bien aux pieds des chevaux. C'est parfait, nous nous sentons en sécurité.”
Même analyse chez Keven Borgel qui, en sa qualité de président des entraîneurs, note : “Le retour d'information, qui provient du vestiaire des jockeys, s'avère positif. La piste leur paraît correcte et satisfaisante.”
Quant au maître d'œuvre, le président Yves Jacquin, il se dit soulagé de cette “inauguration” : “Non, je n'avais pas trop de pression, car je savais que le travail avait été bien fait en amont. Je tiens à remercier mon chef des pistes, Éric Duquoc qui, depuis six ans, fait montre de compétences et de dévouement. Et si aujourd'hui notre équipement donne entière satisfaction, c'est aussi et surtout à lui qu'en revient le mérite.”