Ce groupe III réussit à Jean-Michel Bazire et Éric Raffin. Cette année, ils seront les pilotes des deux grands favoris.
Igor de Miennais, Jeanbat du Vivier, Lord de la Noé et Quoumba de Guez pour l'un, Roxane Griff, Save The Quick et Villeroi pour l'autre. Jean-Michel Bazire et Éric Raffin ont inscrit à plusieurs reprises leur nom au palmarès de ce Prix de Beaugency (groupe III - 2.850 mètres - GP), chacun notamment avec sa jument de cœur.
Cette année, ils seront installés au sulky des deux grands favoris, Aubrion du Gers et Valko Jenilat. Une opposition qui promet beaucoup, avec deux hommes qui ont sans doute encore en tête l'édition précédente, où ils s'étaient “tiré la bourre” en plaine.
Mentor du premier nommé, le Sulky d'Or part confiant après avoir déclaré en début de semaine que le fils de Memphis du Rib, lauréat à sept reprises cette année en étant déferré des quatre pieds, “avait bien travaillé et que tout allait bien pour lui.”
Quant à son opposant direct, il reste sur son doublé Prix de Buenos-Aires/Prix de la Haye, qui avait fait dire à Sébastien Guarato que le représentant des frères Raffré est “l'un des meilleurs chevaux de tenue du moment.” Ne comptez pas sur eux pour plier sous l'effort, ce qui écarte également la possibilité d'une course tactique. Place au sport et que le meilleur gagne (ils ne se sont retrouvés qu'une fois sur la ligne de départ, sans avoir pu se jauger).
Derrière ces deux “durs à cuire”, on retrouve Altesse du Mirel, lauréate du Prix Jean Riaud (ex-Prix Jamin), et qui vient de crever l'écran dans l'étape du Trophée Vert de Montier-en-Der, ainsi qu'Alfas Da Vinci, de retour sur notre sol. Bien que ferré, sur une piste un peu collante, le pensionnaire de Joakim Lövgren a terminé de manière très prometteuse dernièrement, à Aby.
Indigious, Oibambam Effe ou Val Royal, compétitif “pour une place”, tenteront de suivre un rythme qui promet d'être sélectif.
Igor de Miennais, Jeanbat du Vivier, Lord de la Noé et Quoumba de Guez pour l'un, Roxane Griff, Save The Quick et Villeroi pour l'autre. Jean-Michel Bazire et Éric Raffin ont inscrit à plusieurs reprises leur nom au palmarès de ce Prix de Beaugency (groupe III - 2.850 mètres - GP), chacun notamment avec sa jument de cœur.
Cette année, ils seront installés au sulky des deux grands favoris, Aubrion du Gers et Valko Jenilat. Une opposition qui promet beaucoup, avec deux hommes qui ont sans doute encore en tête l'édition précédente, où ils s'étaient “tiré la bourre” en plaine.
Mentor du premier nommé, le Sulky d'Or part confiant après avoir déclaré en début de semaine que le fils de Memphis du Rib, lauréat à sept reprises cette année en étant déferré des quatre pieds, “avait bien travaillé et que tout allait bien pour lui.”
Quant à son opposant direct, il reste sur son doublé Prix de Buenos-Aires/Prix de la Haye, qui avait fait dire à Sébastien Guarato que le représentant des frères Raffré est “l'un des meilleurs chevaux de tenue du moment.” Ne comptez pas sur eux pour plier sous l'effort, ce qui écarte également la possibilité d'une course tactique. Place au sport et que le meilleur gagne (ils ne se sont retrouvés qu'une fois sur la ligne de départ, sans avoir pu se jauger).
Derrière ces deux “durs à cuire”, on retrouve Altesse du Mirel, lauréate du Prix Jean Riaud (ex-Prix Jamin), et qui vient de crever l'écran dans l'étape du Trophée Vert de Montier-en-Der, ainsi qu'Alfas Da Vinci, de retour sur notre sol. Bien que ferré, sur une piste un peu collante, le pensionnaire de Joakim Lövgren a terminé de manière très prometteuse dernièrement, à Aby.
Indigious, Oibambam Effe ou Val Royal, compétitif “pour une place”, tenteront de suivre un rythme qui promet d'être sélectif.