André Pommier :
“J'ai lu mon premier “Paris-Turf” à Niort, chez le Docteur Claude Dumeau en 1964. À l'époque, il y avait encore deux journaux distincts, “Paris-Turf” et “Sport Complet”. Dès l'année suivante, j'ai acheté le “Turf” et je lui suis depuis resté fidèle au quotidien. En vacances, je suis capable de faire plusieurs kilomètres pour le trouver. C'est notre bible à tous, car c'est le plus complet. Lorsque j'ouvre mon journal, je commence toujours par les résultats de la veille avec les commentaires, puis ceux de province qui m'intéressent tous. Ensuite, je passe aux articles et je finis par la page trois, avec toutes sortes de brèves qui mériteraient d'être un peu plus longues. J'ai bien évidemment conservé beaucoup d'articles sur ma carrière. Les pages ont jauni, mais j'ai toujours le plaisir de les montrer à mes petits-enfants. J'ai en mémoire une photo dans un “Président”, je vole sur le gros open-ditch alors que mon cheval est dans le trou, avec la légende : “Monsieur, vous avez perdu votre cheval !” Allez, bon anniversaire “Paris-Turf” ! Tu as encore de belles années devant toi !”
“J'ai lu mon premier “Paris-Turf” à Niort, chez le Docteur Claude Dumeau en 1964. À l'époque, il y avait encore deux journaux distincts, “Paris-Turf” et “Sport Complet”. Dès l'année suivante, j'ai acheté le “Turf” et je lui suis depuis resté fidèle au quotidien. En vacances, je suis capable de faire plusieurs kilomètres pour le trouver. C'est notre bible à tous, car c'est le plus complet. Lorsque j'ouvre mon journal, je commence toujours par les résultats de la veille avec les commentaires, puis ceux de province qui m'intéressent tous. Ensuite, je passe aux articles et je finis par la page trois, avec toutes sortes de brèves qui mériteraient d'être un peu plus longues. J'ai bien évidemment conservé beaucoup d'articles sur ma carrière. Les pages ont jauni, mais j'ai toujours le plaisir de les montrer à mes petits-enfants. J'ai en mémoire une photo dans un “Président”, je vole sur le gros open-ditch alors que mon cheval est dans le trou, avec la légende : “Monsieur, vous avez perdu votre cheval !” Allez, bon anniversaire “Paris-Turf” ! Tu as encore de belles années devant toi !”