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Pendant que les navigateurs du Vendée Globe filent à vive allure dans les alizés, au large du Brésil, les protagonistes de ce groupe III vont certainement faire parler la vitesse sur la grande piste.
Des vents (parfois) violents et de fortes précipitations sont annoncés, dimanche, au-dessus de Paris. Les spécialistes météo, tout autant que les pronostiqueurs hippiques, n'ont pas un métier facile, dame nature étant parfois capricieuse, tout autant que nos chers équidés, ce qui rend leur tâche compliquée et la fiabilité de leurs prévisions aléatoire. Quoi qu'il en soit, les différents protagonistes du Prix de Boissy-Saint-Léger (2.100 mètres - G.P.) devraient avoir le vent en poupe dans une épreuve bien souvent remportée par d'excellents compétiteurs.
Paré du label européen depuis 2004, ce groupe III a du mal à basculer dans le clan tricolore, Napoleon Bar (2011), Rocky Winner (2013) et Red Rose America (2015) ayant “tapé” les français au cours des cinq dernières années. Reste à savoir si cette tendance se confirmera dimanche, la présence au départ de Carat Williams ayant, par exemple, vocation à tenir la dragée haute à Cash Gamble. Si le représentant de Fabrice Souloy n'a trouvé que Bugsy Malone pour lui barrer le chemin du succès, à Laval, ce dernier établissant - au passage - un nouveau record en Mayenne (1'12''3 sur 2.900 mètres...), le pensionnaire de Sébastien Guarato a incontestablement l'étoffe d'un tout bon cheval. “Il a pris progressivement de la force et arrive gentiment à maturité”, dit de lui l'homme du Ménil-Bérard. Disposant d'une sacrée marge de progression, il sera drivé en grande confiance par David Thomain, avec lequel il reste sur cinq victoires et qui délaissera pour l'occasion Céré Josselyn, lauréate en sa compagnie au niveau semi-classique durant l'été.
Gagnante de groupe I l'an passé, Trinity Zet sera l'une des attractions et son comportement sera à suivre d'entrée de jeu, d'autant qu'elle est annoncée déferrée des quatre pieds.
Troisième pour son retour à la compétition, Cavalleria dispose, elle aussi, d'une belle chance théorique, étant entendu “que le raccourcissement de la distance ne va pas la déranger”, estime Sébastien Guarato, qui délègue aussi Classic Way, lequel “va tenter de se réhabiliter en venant sur les autres”, précise t-il. Caduceus des Baux, “qui n'a pas semblé dans son assiette, récemment, au Croisé-Laroche”, selon Matthieu Abrivard, devra fournir sa meilleure valeur pour figurer à l'arrivée.
Préparé pour cette course par JMB, Barrio Josselyn ne manque pas de vitesse et paraît lui aussi compétitif, comme Ochongo Face, déjà lauréat sur ce parcours.
Des vents (parfois) violents et de fortes précipitations sont annoncés, dimanche, au-dessus de Paris. Les spécialistes météo, tout autant que les pronostiqueurs hippiques, n'ont pas un métier facile, dame nature étant parfois capricieuse, tout autant que nos chers équidés, ce qui rend leur tâche compliquée et la fiabilité de leurs prévisions aléatoire. Quoi qu'il en soit, les différents protagonistes du Prix de Boissy-Saint-Léger (2.100 mètres - G.P.) devraient avoir le vent en poupe dans une épreuve bien souvent remportée par d'excellents compétiteurs.
Paré du label européen depuis 2004, ce groupe III a du mal à basculer dans le clan tricolore, Napoleon Bar (2011), Rocky Winner (2013) et Red Rose America (2015) ayant “tapé” les français au cours des cinq dernières années. Reste à savoir si cette tendance se confirmera dimanche, la présence au départ de Carat Williams ayant, par exemple, vocation à tenir la dragée haute à Cash Gamble. Si le représentant de Fabrice Souloy n'a trouvé que Bugsy Malone pour lui barrer le chemin du succès, à Laval, ce dernier établissant - au passage - un nouveau record en Mayenne (1'12''3 sur 2.900 mètres...), le pensionnaire de Sébastien Guarato a incontestablement l'étoffe d'un tout bon cheval. “Il a pris progressivement de la force et arrive gentiment à maturité”, dit de lui l'homme du Ménil-Bérard. Disposant d'une sacrée marge de progression, il sera drivé en grande confiance par David Thomain, avec lequel il reste sur cinq victoires et qui délaissera pour l'occasion Céré Josselyn, lauréate en sa compagnie au niveau semi-classique durant l'été.
Gagnante de groupe I l'an passé, Trinity Zet sera l'une des attractions et son comportement sera à suivre d'entrée de jeu, d'autant qu'elle est annoncée déferrée des quatre pieds.
Troisième pour son retour à la compétition, Cavalleria dispose, elle aussi, d'une belle chance théorique, étant entendu “que le raccourcissement de la distance ne va pas la déranger”, estime Sébastien Guarato, qui délègue aussi Classic Way, lequel “va tenter de se réhabiliter en venant sur les autres”, précise t-il. Caduceus des Baux, “qui n'a pas semblé dans son assiette, récemment, au Croisé-Laroche”, selon Matthieu Abrivard, devra fournir sa meilleure valeur pour figurer à l'arrivée.
Préparé pour cette course par JMB, Barrio Josselyn ne manque pas de vitesse et paraît lui aussi compétitif, comme Ochongo Face, déjà lauréat sur ce parcours.
