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Cinq jours après le quatrième sacre de Timoko dans le Critérium de Vitesse de Cagnes, la génération des “T”, atteinte par la limite d'âge, en fin d'année en France, sera fièrement représentée par Tiégo d'Etang. Après un hiver discret, le champion de Christian Bigeon trouve l'occasion idéale pour briller.
À l'image du Croisé-Laroche récemment, ce Prix de Cauvicourt permet à d'excellents trotteurs de retrouver la province dans des conditions abordables (il ne faut pas avoir glané 30.000 euros au cours de l'hiver, ni avoir gagné depuis le 1er mars). Une sorte de douce remise en forme avant d'aborder les grandes échéances du printemps. Un exemple à suivre et, peut être même, à développer un peu partout ou alors s'inspirer des épreuves de requalification, comme cela se fait déjà dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. Discret cet hiver mais troisième des “Ducs de Normandie” au printemps dernier, Tiégo d'Etang, le plus riche, retrouve la piste caennaise avec des ambitions : “Il m'a laissé une très bonne impression dans le Grand Prix de Paris. Sur la montante, il me semble revenir au mieux”, indique Charles Bigeon, dont le meeting d'hiver (dix-huit victoires) a définitivement scellé son ascension.
Pour le contrer, Sébastien Guarato sera doublement représenté avec Aladin d’Ecajeul, troisième de cette épreuve l'an dernier, et surtout Billie de Montfort qui “a soufflé après une bonne saison 2016 et paraît déjà affûtée. Elle se plaît sur les profils plats et devrait très bien faire”.
Décevant la semaine dernière, Ave Avis mérite d'être totalement repris : “Je lui remets son bonnet fermé car il s'est moqué de nous dernièrement. J'attends un rachat”, livre Jean-Michel Bazire à propos de ce lauréat du Critérium des 5 Ans qui a déjà eu l'occasion de prouver son aptitude à main droite par sa troisième place du Grand Prix du Sud-Ouest l'automne dernier. Derrière ce trio incontournable, et en prenant soin de faire quelques impasses obligatoires (voir le cahier quinté), on accordera une certaine méfiance à Tiger Danover, déferré et bien placé en première ligne, Ulk Medoc, pieds nus pour la première fois sur le sable et en condition, Orione Degli Dei, surprenant récemment à Vincennes, le jeune Caduceus des Baux, doué, alors que le millionnaire Uhlan du Val, absent depuis juillet, effectue sa rentrée.
À l'image du Croisé-Laroche récemment, ce Prix de Cauvicourt permet à d'excellents trotteurs de retrouver la province dans des conditions abordables (il ne faut pas avoir glané 30.000 euros au cours de l'hiver, ni avoir gagné depuis le 1er mars). Une sorte de douce remise en forme avant d'aborder les grandes échéances du printemps. Un exemple à suivre et, peut être même, à développer un peu partout ou alors s'inspirer des épreuves de requalification, comme cela se fait déjà dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. Discret cet hiver mais troisième des “Ducs de Normandie” au printemps dernier, Tiégo d'Etang, le plus riche, retrouve la piste caennaise avec des ambitions : “Il m'a laissé une très bonne impression dans le Grand Prix de Paris. Sur la montante, il me semble revenir au mieux”, indique Charles Bigeon, dont le meeting d'hiver (dix-huit victoires) a définitivement scellé son ascension.
Pour le contrer, Sébastien Guarato sera doublement représenté avec Aladin d’Ecajeul, troisième de cette épreuve l'an dernier, et surtout Billie de Montfort qui “a soufflé après une bonne saison 2016 et paraît déjà affûtée. Elle se plaît sur les profils plats et devrait très bien faire”.
Décevant la semaine dernière, Ave Avis mérite d'être totalement repris : “Je lui remets son bonnet fermé car il s'est moqué de nous dernièrement. J'attends un rachat”, livre Jean-Michel Bazire à propos de ce lauréat du Critérium des 5 Ans qui a déjà eu l'occasion de prouver son aptitude à main droite par sa troisième place du Grand Prix du Sud-Ouest l'automne dernier. Derrière ce trio incontournable, et en prenant soin de faire quelques impasses obligatoires (voir le cahier quinté), on accordera une certaine méfiance à Tiger Danover, déferré et bien placé en première ligne, Ulk Medoc, pieds nus pour la première fois sur le sable et en condition, Orione Degli Dei, surprenant récemment à Vincennes, le jeune Caduceus des Baux, doué, alors que le millionnaire Uhlan du Val, absent depuis juillet, effectue sa rentrée.
