Une terreur pour ses rivaux... Samedi, l’une des vedettes de la génération des “C”, Carat Williams, retrouve une large majorité de ses contemporains qu’il a battus lors de ses deux récents succès au niveau semi-classique. L’histoire risque de se répéter.
“C’est un crack !” D’après vous, de qui émanent ces propos élogieux ? Eu égard aux forces en présence dans ce Prix Henri Levesque (2.175 m. - G.P.), la réponse est loin d’être introuvable... Vous l’aurez deviné, il s’agit de Sébastien Guarato. L’homme de Bold Eagle ne tarit pas d’éloges au sujet d’un autre “diamant” de son écurie : Carat Williams.Et comment pourrait-il en être autrement, tant le fils de Prodigiouss’est montré époustouflant, au plus haut niveau, face à ses contemporains (Traders, Charly du Noyer...) durant le meeting hivernal ? Seule la consécration classique manque à son palmarès. À ce titre, il n’aurait pas été loin du Graal sans une “maudite” roue bloquée dans le “Sélection”. Qu’à cela ne tienne. Celui qui a le potentiel pour disputer un jour le Prix d’Amérique aura d’autres occasions pour s’offrir une éclatante revanche sur le sort dans les classiques (Critérium des 5 Ans).
En attendant, il découvre une belle occasion d’étoffer son palmarès avec une nouvelle épreuve de groupe, d’autant que l’horizon du succès est dégagé. En effet, il affronte une opposition similaire à celle de ses deux récentes victoires semi-classiques, qui avaient pour théâtre les Prix Robert Auvray (mars) et Ovide Moulinet (février). Et pour enfoncer encore un peu plus le clou, aucun de ses adversaires du jour n’a réussi, jusqu’à présent, à le battre à la régulière. Élément le plus rapide de sa “promo” sur le parcours (1’11’’2 !), un chrono obtenu avec une roue bloquée dans le “Sélection” qui plus est, ce trotteur en acier trempé est “parfait au travail, informe son mentor. Il vole même ! Il devrait poursuivre sur sa lancée.” Le représentant de Françoise Deboudaud est le cheval à battre ! Un an après Baltic Charm, il pourrait offrir un second succès consécutif dans ce groupe II à son metteur au point, qui avait réalisé un carton plein en plaçant également Boléro Love (2e) et Billie de Montfort(4e). Dans cette édition 2017, le n°1 des entraîneurs français délègue aussi Caïd Griff (troisième du “Robert Auvray”) qui “peut monter une nouvelle fois sur le podium” et Cavalleria, qui “visera une petite place”.
Récent dauphin de Carat Williams, Cyprien des Bordes, crédité d’un joli retour ce jour-là, s’annonce comme un sérieux prétendant aux accessits, au même titre que Clif du Pommereux. Deuxième de “Carat” dans le “Moulinet”, il n’a pu répéter face au favori des turfistes. “Je l’avais mis rapidement dans l’ambianceet il n’a pu suivre l’accélération pour finir”, explique Sylvain Roger. Pieds nus cette fois et munie d’œillères plates,Caly Loulou va défendre chèrement ses chances. “DP”, Céré Josselyn, bonne finisseuse (avec Franck Nivard), a son mot à dire.
“C’est un crack !” D’après vous, de qui émanent ces propos élogieux ? Eu égard aux forces en présence dans ce Prix Henri Levesque (2.175 m. - G.P.), la réponse est loin d’être introuvable... Vous l’aurez deviné, il s’agit de Sébastien Guarato. L’homme de Bold Eagle ne tarit pas d’éloges au sujet d’un autre “diamant” de son écurie : Carat Williams.Et comment pourrait-il en être autrement, tant le fils de Prodigiouss’est montré époustouflant, au plus haut niveau, face à ses contemporains (Traders, Charly du Noyer...) durant le meeting hivernal ? Seule la consécration classique manque à son palmarès. À ce titre, il n’aurait pas été loin du Graal sans une “maudite” roue bloquée dans le “Sélection”. Qu’à cela ne tienne. Celui qui a le potentiel pour disputer un jour le Prix d’Amérique aura d’autres occasions pour s’offrir une éclatante revanche sur le sort dans les classiques (Critérium des 5 Ans).
En attendant, il découvre une belle occasion d’étoffer son palmarès avec une nouvelle épreuve de groupe, d’autant que l’horizon du succès est dégagé. En effet, il affronte une opposition similaire à celle de ses deux récentes victoires semi-classiques, qui avaient pour théâtre les Prix Robert Auvray (mars) et Ovide Moulinet (février). Et pour enfoncer encore un peu plus le clou, aucun de ses adversaires du jour n’a réussi, jusqu’à présent, à le battre à la régulière. Élément le plus rapide de sa “promo” sur le parcours (1’11’’2 !), un chrono obtenu avec une roue bloquée dans le “Sélection” qui plus est, ce trotteur en acier trempé est “parfait au travail, informe son mentor. Il vole même ! Il devrait poursuivre sur sa lancée.” Le représentant de Françoise Deboudaud est le cheval à battre ! Un an après Baltic Charm, il pourrait offrir un second succès consécutif dans ce groupe II à son metteur au point, qui avait réalisé un carton plein en plaçant également Boléro Love (2e) et Billie de Montfort(4e). Dans cette édition 2017, le n°1 des entraîneurs français délègue aussi Caïd Griff (troisième du “Robert Auvray”) qui “peut monter une nouvelle fois sur le podium” et Cavalleria, qui “visera une petite place”.
Récent dauphin de Carat Williams, Cyprien des Bordes, crédité d’un joli retour ce jour-là, s’annonce comme un sérieux prétendant aux accessits, au même titre que Clif du Pommereux. Deuxième de “Carat” dans le “Moulinet”, il n’a pu répéter face au favori des turfistes. “Je l’avais mis rapidement dans l’ambianceet il n’a pu suivre l’accélération pour finir”, explique Sylvain Roger. Pieds nus cette fois et munie d’œillères plates,Caly Loulou va défendre chèrement ses chances. “DP”, Céré Josselyn, bonne finisseuse (avec Franck Nivard), a son mot à dire.