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Comme d’habitude, la plus belle réunion de l’année à Vincennes a tenu toutes ses promesses.
Dans le Prix du Président de la République, Éric Raffin et Draft Life ont effectué une véritable démonstration, en trouvant leur salut dans la fuite. À mon avis, quand elle est dans les autres, avec sa grande action, cette jument n’est pas trop à l’aise. En revanche, on a pu voir que lorsqu’elle déroule, elle peut aller sur un rythme élevé, sans peiner. Avec une réduction kilométrique d’1’12”8, le record de l’épreuve est tombé. C’est vraiment de la belle ouvrage.
Bold Eagle était attendu pour son retour à Vincennes à l’occasion du Prix René Ballière. Franck Nivard l’a mené très sagement. Et, après avoir trouvé un dos de choix, celui de Traders, pour se faire ramener, on ne voyait plus que “Bold” dans la ligne droite. Pour ma part, l’autostart n’est pas fait pour Bélina Josselyn.
Autre groupe I, attelé, le Prix Albert Viel est revenu à Eros du Chêne. Certes, il a hérité du succès sur le tapis vert, après la disqualification après enquête d’Ecu Pierji, mais lui, un chic cheval que j’avais eu l’occasion de driver dans le Critérium des Jeunes (2e), comme son entourage, méritait cette grande victoire.
Dans le second classique sous la selle, le Prix d’Essai, nous avons assisté à une nette domination des Philippe Allaire, Eye of The Storm et Epatante, qui se sont livré une belle lutte tout au long de la ligne droite. De mon côté, je suis très satisfait du comportement de ma pouliche, Eiffel Tower. Patiemment montée, elle s’est octroyé une bonne et facile troisième place, en retrait de ces deux champions.
Pour cette journée de gala, sous un temps très clément, le spectacle était bel et bien au rendez-vous.
Dans le Prix du Président de la République, Éric Raffin et Draft Life ont effectué une véritable démonstration, en trouvant leur salut dans la fuite. À mon avis, quand elle est dans les autres, avec sa grande action, cette jument n’est pas trop à l’aise. En revanche, on a pu voir que lorsqu’elle déroule, elle peut aller sur un rythme élevé, sans peiner. Avec une réduction kilométrique d’1’12”8, le record de l’épreuve est tombé. C’est vraiment de la belle ouvrage.
Bold Eagle était attendu pour son retour à Vincennes à l’occasion du Prix René Ballière. Franck Nivard l’a mené très sagement. Et, après avoir trouvé un dos de choix, celui de Traders, pour se faire ramener, on ne voyait plus que “Bold” dans la ligne droite. Pour ma part, l’autostart n’est pas fait pour Bélina Josselyn.
Autre groupe I, attelé, le Prix Albert Viel est revenu à Eros du Chêne. Certes, il a hérité du succès sur le tapis vert, après la disqualification après enquête d’Ecu Pierji, mais lui, un chic cheval que j’avais eu l’occasion de driver dans le Critérium des Jeunes (2e), comme son entourage, méritait cette grande victoire.
Dans le second classique sous la selle, le Prix d’Essai, nous avons assisté à une nette domination des Philippe Allaire, Eye of The Storm et Epatante, qui se sont livré une belle lutte tout au long de la ligne droite. De mon côté, je suis très satisfait du comportement de ma pouliche, Eiffel Tower. Patiemment montée, elle s’est octroyé une bonne et facile troisième place, en retrait de ces deux champions.
Pour cette journée de gala, sous un temps très clément, le spectacle était bel et bien au rendez-vous.
