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Lauréat des Prix de la Haye et de Buenos-Aires, ferré, l'an dernier sur le Plateau de Soisy, Valko Jenilat a effectué un retour gagnant sur cet hippodrome dans le “New-York” en juin. Il sera très difficile de lui barrer le chemin du succès sur ce même parcours des 2 150 mètres.
Deuxième récemment de Bold Eagle dans le Prix René Ballière à Vincennes après avoir pris les choses en main, Valko Jenilat ne cesse de progresser à 8 ans. De 2 100 mètres à 4 150, la distance du marathon d'Enghien dans lequel, il avait fait une démonstration lors de l'été 2016, il est capable de tout faire. Son entraîneur, Sébastien Guarato, qui a déjà remporté ce groupe III avec Rêve de Beylev, drivé aussi par Éric Raffin, en 2012 le trouve : “Sur la montante et on ne connaît pas trop ses limites. Etre déferré des quatre pieds, muni du petit bonnet fermé américain, qui l'a mis plus à son boulot, d'un débouche oreille et aussi le fait d'avoir pris de la force, lui a permis de franchir un palier. Actuellement, il fait partie des trois ou quatre meilleurs français.” S'il fallait émettre une petite réserve, c'est son numéro piège derrière l'autostart, le 1.
Pour son autre pensionnaire, Beau Gamin, pas gâté avec le 8, l'homme du Menil-Bérard signale : “Il a été déclaré non partant (10 juin) en raison d'un petit problème à une rotule. Sans doute s'est-il coincé dans son box. Tout est rentré dans l'ordre. Il a bien travaillé. Il peut terminer dans les quatre premiers.”
Troisième du protégé des frères Raffré le 17 juin, malgré un parcours peu favorable, Ulk Medoc (4) essaiera de faire mieux. Son heureux propriétaire-entraîneur et jeune retraité, Lionel César est aux anges avec son petit alezan : “C'est sympa d'avoir un tel cheval à 64 ans. J'ai eu de bons éléments mais jamais de ce niveau-là. Dernièrement à Vichy, il a joué de malchance en se retrouvant nez au vent, suite à la faute d'un rival. Il ne peut pas faire le dernier kilomètre dans cette posture. Il faut attendre au maximum pour bien sprinter. Tony Le Beller le connaît parfaitement et je peux vous assurer qu'il a très bien récupéré.”
Cinquième pour sa rentrée à La Capelle dimanche sur le mile, Ave Avis (7), n'avait pas été revu depuis son second accessit sur ce parcours dans “L'Atlantique”, gagné par Bold Eagle. Lui aussi n'a pas été marqué selon, Jean-Michel Bazire, lauréat de ce Prix de Bruxelles en 1999 et 2000 avec Fiesta d'Anjou et Groom de Bootz : “Il s'est montré très froid en début de course . Ca, c'est le point négatif mais le positif est sa mise en route, seulement à cent mètres du but, preuve qu'il n'était pas fatigué.” Nul doute que cette sortie aura réveillé ce cheval assez lourd et imposant de modèle, associé une nouvelle fois à Matthieu Abrivard.
Deuxième de cette épreuve lors des deux dernières éditions, Olmo Holz (2) vient de montrer un petit regain de forme et sera D4 ce qui n'est pas arrivé depuis août 2016. Il peut se rappeler à notre bon souvenir mais pour une place. Pour Arazi Boko (6), avec le 7 derrière l'auto, il était impossible de revenir de l'arrière dans le “Washington” comme cela s'est couru. Il faut le racheter.
Trebol (3) sera un peu l'X de la course. Son fidèle partenaire, Gabriel Pou Pou a besoin d'être rassuré : “Lors de ses deux parcours de rentrée, les chronos étaient acceptables mais il a manqué de mordant à la fin. J'ai changé sa façon de travailler et je le sens bien mais à 10 ans, ce n'est peut-être pas le cheval que l'on a connu. Je vais essayer de courir à sa façon, battu.”
Tropic du Hêtre (5) a le même âge et n'aura pas une tâche aisée.
Deuxième récemment de Bold Eagle dans le Prix René Ballière à Vincennes après avoir pris les choses en main, Valko Jenilat ne cesse de progresser à 8 ans. De 2 100 mètres à 4 150, la distance du marathon d'Enghien dans lequel, il avait fait une démonstration lors de l'été 2016, il est capable de tout faire. Son entraîneur, Sébastien Guarato, qui a déjà remporté ce groupe III avec Rêve de Beylev, drivé aussi par Éric Raffin, en 2012 le trouve : “Sur la montante et on ne connaît pas trop ses limites. Etre déferré des quatre pieds, muni du petit bonnet fermé américain, qui l'a mis plus à son boulot, d'un débouche oreille et aussi le fait d'avoir pris de la force, lui a permis de franchir un palier. Actuellement, il fait partie des trois ou quatre meilleurs français.” S'il fallait émettre une petite réserve, c'est son numéro piège derrière l'autostart, le 1.
Pour son autre pensionnaire, Beau Gamin, pas gâté avec le 8, l'homme du Menil-Bérard signale : “Il a été déclaré non partant (10 juin) en raison d'un petit problème à une rotule. Sans doute s'est-il coincé dans son box. Tout est rentré dans l'ordre. Il a bien travaillé. Il peut terminer dans les quatre premiers.”
Troisième du protégé des frères Raffré le 17 juin, malgré un parcours peu favorable, Ulk Medoc (4) essaiera de faire mieux. Son heureux propriétaire-entraîneur et jeune retraité, Lionel César est aux anges avec son petit alezan : “C'est sympa d'avoir un tel cheval à 64 ans. J'ai eu de bons éléments mais jamais de ce niveau-là. Dernièrement à Vichy, il a joué de malchance en se retrouvant nez au vent, suite à la faute d'un rival. Il ne peut pas faire le dernier kilomètre dans cette posture. Il faut attendre au maximum pour bien sprinter. Tony Le Beller le connaît parfaitement et je peux vous assurer qu'il a très bien récupéré.”
Cinquième pour sa rentrée à La Capelle dimanche sur le mile, Ave Avis (7), n'avait pas été revu depuis son second accessit sur ce parcours dans “L'Atlantique”, gagné par Bold Eagle. Lui aussi n'a pas été marqué selon, Jean-Michel Bazire, lauréat de ce Prix de Bruxelles en 1999 et 2000 avec Fiesta d'Anjou et Groom de Bootz : “Il s'est montré très froid en début de course . Ca, c'est le point négatif mais le positif est sa mise en route, seulement à cent mètres du but, preuve qu'il n'était pas fatigué.” Nul doute que cette sortie aura réveillé ce cheval assez lourd et imposant de modèle, associé une nouvelle fois à Matthieu Abrivard.
Deuxième de cette épreuve lors des deux dernières éditions, Olmo Holz (2) vient de montrer un petit regain de forme et sera D4 ce qui n'est pas arrivé depuis août 2016. Il peut se rappeler à notre bon souvenir mais pour une place. Pour Arazi Boko (6), avec le 7 derrière l'auto, il était impossible de revenir de l'arrière dans le “Washington” comme cela s'est couru. Il faut le racheter.
Trebol (3) sera un peu l'X de la course. Son fidèle partenaire, Gabriel Pou Pou a besoin d'être rassuré : “Lors de ses deux parcours de rentrée, les chronos étaient acceptables mais il a manqué de mordant à la fin. J'ai changé sa façon de travailler et je le sens bien mais à 10 ans, ce n'est peut-être pas le cheval que l'on a connu. Je vais essayer de courir à sa façon, battu.”
Tropic du Hêtre (5) a le même âge et n'aura pas une tâche aisée.
