- Luire ne laisse aucune chance aux favoris de la classe 2 du jour. “C'est une pouliche facile, analyse Damien de Watrigant, son entraîneur. Elle a été aidée dans sa tâche par la décharge et la monte de sa cavalière qui a su l'économiser au maximum. Elle a besoin de temps entre deux courses, on va réfléchir pour son programme à venir, qui dépendait de cette course.” Sa jockette, Laura Grosso, lauréate du quinté de lundi à Chantilly, confirme son excellente période de forme.
- Dans le maiden réservée aux femelles, L'Arzimut vole la vedette à la favorite Piquiri, au terme d'une très belle fin de course. “Nous l'avons courue à Vichy pour faire plaisir à sa propriétaire, Mme Airaldi,qui habite dans la région, explique Christophe Cheminaud. C'est une pouliche précoce, dressée sur les obstacles, qui ira vers Auteuil.” Sa propriétaire élève dans l'Allier, à Neure, dans les anciens établissements de Denis Parodat, là même où était entraîné un certain Bep's, lauréat du Prix du Président de la République en 1995.
- La plus titrée, Hebah remporte la classe 1 de ce mercredi, non sans devoir sortir le grand jeu. Dans les cent derniers mètres, Hebah a un minime avantage sur Liwanu et le conserve jusqu'au bout, fort courageusement. “C'est une jument sympa, dira Christophe Soumillon, elle a dû lutter pour conserver le meilleur jusqu'au bout.”
- Dans le maiden réservée aux femelles, L'Arzimut vole la vedette à la favorite Piquiri, au terme d'une très belle fin de course. “Nous l'avons courue à Vichy pour faire plaisir à sa propriétaire, Mme Airaldi,qui habite dans la région, explique Christophe Cheminaud. C'est une pouliche précoce, dressée sur les obstacles, qui ira vers Auteuil.” Sa propriétaire élève dans l'Allier, à Neure, dans les anciens établissements de Denis Parodat, là même où était entraîné un certain Bep's, lauréat du Prix du Président de la République en 1995.
- La plus titrée, Hebah remporte la classe 1 de ce mercredi, non sans devoir sortir le grand jeu. Dans les cent derniers mètres, Hebah a un minime avantage sur Liwanu et le conserve jusqu'au bout, fort courageusement. “C'est une jument sympa, dira Christophe Soumillon, elle a dû lutter pour conserver le meilleur jusqu'au bout.”