Confirmées au plus haut niveau, à l’attelé comme sous la selle, Darling de Reux, Draft Life et Dawana ont un excellent rôle à jouer ce week-end, d’autant qu’elles n’auront pas à affronter les mâles.
"Sans ambition, la vie c’est trop long...” IAM, qui fêtera, à l’automne, les vingt ans de la sortie de son mythique album “l’Ecole du Micro d’Argent” puise (notamment) son inspiration dans des événements vécus. Dans le morceau “Pas nés sous la même étoile”, il est question des inégalités entre les riches et les pauvres. Samedi, ceux disposant des comptes en banque les plus fournis dans le Prix Guy Le Gonidec (2.700 mètres - G.P.) devraient être en mesure de s’en sortir le mieux dans un groupe II semblant aller comme un gant à Darling de Reux, Draft Life et Dawana.
Contrairement aux deux premières (absentes), la dernière nommée s’est très bien comportée, le mois dernier, dans le Prix de Genève, à Enghien, terminant au troisième rang derrière Django Riff et Dreammoko. “Depuis le début de sa carrière, elle a toujours terminé dans l’argent, fait judicieusement remarquer Philippe Allaire. Ce week-end, il y a beaucoup de partants mais, comme ma jument est véloce, elle devrait être en mesure de bien partir et de se retrouver rapidement en bonne position.” Et d’ajouter : “Elle va encore donner sa pleine mesure, étant toujours au mieux physiquement.” S’il considère que rendre cinquante mètres (sur 2.200 mètres) aux 3 ans dans le Prix de l’Étoile (17 septembre) “paraît insurmontable”, Philippe Allaire envisage de présenter celle issue du croisement de Ready Cash et Sanawa“dans l’éliminatoire au Grand Prix de l’UET”, le 22 septembre. Disqualifiée dans la phase finale du “Président de la République” (groupe I), tandis que Dawana s’octroyait le premier accessit face à... Draft Life,Darling de Reux a pris le leadership de sa génération, à l’attelé, en faisant sien, au printemps, le Critérium des 4 Ans. “C’est une jument qui se prépare généralement vite et le fait qu’elle n’ait pas couru depuis la fin du mois de juin ne me pose pas de problème, dit d’elle Sébastien Guarato. Elle a du boulot et m’a montré, le matin, à l’entraînement, qu’elle était prête à faire feu d’entrée de jeu.”
Si le fait d’avoir trouvé la consécration au plus haut niveau sous la selle a probablement étoffé l’éventail de possibilités de Draft Life (que l’on pourrait, par exemple, retrouver l’hiver prochain au départ du “Cornulier”), Louis Baudron entend certainement voir celle qu’il a (co)élevée et qu’il entraîne réaliser une belle performance, lui qui s’est déjà distingué dans ce Prix Guy Le Gonidec, en 2012, avec Ustie Love.
Délia du Pommereux, déferrée uniquement des postérieurs, mais aussi Dalixoria et Diamond Crown, deux autres “cartouches” Guarato, miseront (uniquement ?) sur la défaillance des principales favorites dans une épreuve où les têtes de série s’annoncent redoutables.
"Sans ambition, la vie c’est trop long...” IAM, qui fêtera, à l’automne, les vingt ans de la sortie de son mythique album “l’Ecole du Micro d’Argent” puise (notamment) son inspiration dans des événements vécus. Dans le morceau “Pas nés sous la même étoile”, il est question des inégalités entre les riches et les pauvres. Samedi, ceux disposant des comptes en banque les plus fournis dans le Prix Guy Le Gonidec (2.700 mètres - G.P.) devraient être en mesure de s’en sortir le mieux dans un groupe II semblant aller comme un gant à Darling de Reux, Draft Life et Dawana.
Contrairement aux deux premières (absentes), la dernière nommée s’est très bien comportée, le mois dernier, dans le Prix de Genève, à Enghien, terminant au troisième rang derrière Django Riff et Dreammoko. “Depuis le début de sa carrière, elle a toujours terminé dans l’argent, fait judicieusement remarquer Philippe Allaire. Ce week-end, il y a beaucoup de partants mais, comme ma jument est véloce, elle devrait être en mesure de bien partir et de se retrouver rapidement en bonne position.” Et d’ajouter : “Elle va encore donner sa pleine mesure, étant toujours au mieux physiquement.” S’il considère que rendre cinquante mètres (sur 2.200 mètres) aux 3 ans dans le Prix de l’Étoile (17 septembre) “paraît insurmontable”, Philippe Allaire envisage de présenter celle issue du croisement de Ready Cash et Sanawa“dans l’éliminatoire au Grand Prix de l’UET”, le 22 septembre. Disqualifiée dans la phase finale du “Président de la République” (groupe I), tandis que Dawana s’octroyait le premier accessit face à... Draft Life,Darling de Reux a pris le leadership de sa génération, à l’attelé, en faisant sien, au printemps, le Critérium des 4 Ans. “C’est une jument qui se prépare généralement vite et le fait qu’elle n’ait pas couru depuis la fin du mois de juin ne me pose pas de problème, dit d’elle Sébastien Guarato. Elle a du boulot et m’a montré, le matin, à l’entraînement, qu’elle était prête à faire feu d’entrée de jeu.”
Si le fait d’avoir trouvé la consécration au plus haut niveau sous la selle a probablement étoffé l’éventail de possibilités de Draft Life (que l’on pourrait, par exemple, retrouver l’hiver prochain au départ du “Cornulier”), Louis Baudron entend certainement voir celle qu’il a (co)élevée et qu’il entraîne réaliser une belle performance, lui qui s’est déjà distingué dans ce Prix Guy Le Gonidec, en 2012, avec Ustie Love.
Délia du Pommereux, déferrée uniquement des postérieurs, mais aussi Dalixoria et Diamond Crown, deux autres “cartouches” Guarato, miseront (uniquement ?) sur la défaillance des principales favorites dans une épreuve où les têtes de série s’annoncent redoutables.