Un travail qui a démarré lentement, avant de finir de manière un peu plus poussée. “Je le trouve très bien au niveau de son déplacement et de son attitude, commente Christophe Lemaire à sa descente de cheval. Cependant, il soufflait pas mal en s'arrêtant tout de suite après le galop. Je pense qu'il a encore une marge de progression concernant sa condition physique. Il sort d'un long voyage et il y aun petit temps d'acclimatation. Il a aussi fait un bon travail la semaine dernière. Ce galop d'aujourd’hui devrait lui permettre d'arriver en forme pour le Prix Foy, mais il ne sera certainement pas à 100 %, son objectif étant l'Arc, et c'est ce jour-là qu'il faudra être au top. Pour l'instant, sa préparation est bonne. Il devrait très bien courir dans le Prix Foy.”
Un Prix Foy que connaît bien Yasutoshi Ikee, puisqu'il l'a remporté deux fois avec Orfevre (2012 et 2013), à Longchamp. Cette fois, les données changent, puisque l'épreuve se déroule à Chantilly. Mais l'homme se veut confiant : “Il est en forme idéale pour le Prix Foy. Cette année, Satono Diamond a beaucoup progressé d'un point de vue physique ; il a beaucoup forci. Physiquement, je le trouve mieux que l'année dernière. Mes expériences avec Orfevre me sont évidemment utiles pour appréhender cette nouvelle tentative dans l'Arc. Orfevre devait patienter et venir finir, car il n'était pas toujours simple de caractère, alors que Satono Diamond peut adopter n'importe quelle tactique de course ; il est très facile à monter, ce qui est un avantage à Chantilly.” Quant à savoir s'il préfère gagner un troisième Prix Foy ou s'il préfère que son pensionnaire découvre de belle façon le parcours, la réponse fuse : “Les deux ! C'est très important que le cheval connaisse le parcours, mais étant donné que c'est un représentant du Japon, c'est aussi important qu'il gagne.” Mais l'Arc est déjà évidemment dans toutes les têtes. “Je le vois très bien courir, précise Christophe Lemaire. Du Japon, on ne peut pas emmener meilleur cheval pour l'Arc, si ce n'est Kitasan Black, que Satono Diamond a battu dans l'Arima Kinen. On vient avec des ambitions. Ce qui nous importe, c'est d'amener le cheval au top de sa forme afin qu'il puisse réaliser la performance qu'il doit faire. Après, on rêve tous de gagner l'Arc, mais on sait que c'est difficile. L'entraîneur a l'avantage d'avoir l'expérience pour cette course-là ainsi que pour la préparation. Plus on a d'atouts dans son jeu, plus cela rend les choses faciles, mais l'Arc est toujours difficile à gagner.”
Un Prix Foy que connaît bien Yasutoshi Ikee, puisqu'il l'a remporté deux fois avec Orfevre (2012 et 2013), à Longchamp. Cette fois, les données changent, puisque l'épreuve se déroule à Chantilly. Mais l'homme se veut confiant : “Il est en forme idéale pour le Prix Foy. Cette année, Satono Diamond a beaucoup progressé d'un point de vue physique ; il a beaucoup forci. Physiquement, je le trouve mieux que l'année dernière. Mes expériences avec Orfevre me sont évidemment utiles pour appréhender cette nouvelle tentative dans l'Arc. Orfevre devait patienter et venir finir, car il n'était pas toujours simple de caractère, alors que Satono Diamond peut adopter n'importe quelle tactique de course ; il est très facile à monter, ce qui est un avantage à Chantilly.” Quant à savoir s'il préfère gagner un troisième Prix Foy ou s'il préfère que son pensionnaire découvre de belle façon le parcours, la réponse fuse : “Les deux ! C'est très important que le cheval connaisse le parcours, mais étant donné que c'est un représentant du Japon, c'est aussi important qu'il gagne.” Mais l'Arc est déjà évidemment dans toutes les têtes. “Je le vois très bien courir, précise Christophe Lemaire. Du Japon, on ne peut pas emmener meilleur cheval pour l'Arc, si ce n'est Kitasan Black, que Satono Diamond a battu dans l'Arima Kinen. On vient avec des ambitions. Ce qui nous importe, c'est d'amener le cheval au top de sa forme afin qu'il puisse réaliser la performance qu'il doit faire. Après, on rêve tous de gagner l'Arc, mais on sait que c'est difficile. L'entraîneur a l'avantage d'avoir l'expérience pour cette course-là ainsi que pour la préparation. Plus on a d'atouts dans son jeu, plus cela rend les choses faciles, mais l'Arc est toujours difficile à gagner.”