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Le Grand Prix de l'UET ne fait vraiment plus recette. D'ailleurs, ni le lauréat du Critérium des 4 Ans ni celui des 3 ans n'ont été engagés. Et le changement de format avec l'éliminatoire, placée à une semaine de la finale, n'arrange rien . Cela dit, avec Django Riff et Dawana, la Marseillaise pourrait retentir à Solvalla le 30 septembre.
À l'heure où ces lignes ont été imprimées, les éliminatoires scandinaves livraient leur verdict. Ils étaient plus du double de chevaux en quête d'un ticket pour la finale du samedi 30 septembre à Solvalla. Huit se sont qualifiés, soit le double des élus parisiens (quatre).
Une nouvelle fois, on assistera à une confrontation entre Philippe Allaire et Sébastien Guarato, même si la doublette du second nommé évolue un, voire deux tons en dessous de celle du premier.
Django Riff et Dawana ne devraient pas laisser passer l'occasion d'un voyage en Suède. Sans doute moins doués que Charly du Noyer, ils sont par contre plus sûrs. Du côté “Allaire”, il ne devrait pas y avoir de désillusion, comme ce fut le cas l'an passé. D'ailleurs, Philippe aborde cette compétition sereinement : “Il ne faut pas se louper car cette année, c'est très ouvert pour la victoire finale. Il n'y a pas un cheval de la pointure de Readly Express ou de Bold Eagle, comme ce fut le cas deux années de suite. Ce Grand Prix, je l'ai en tête pour Dawana depuis pas mal de temps : c'est véritablement un objectif. Elle est vraiment très bien, comme d'ailleurs l'est également Django Riff. Mes deux chevaux sont très bien placés derrière l'autostart. Ce serait une vraie déception de ne pas les voir se qualifier...”
Sébastien Guarato, de son côté, se veut optimiste. “Évidemment, on n’a pas de prétentions pour la victoire, mais un sujet comme Dunbar peut être troisième. Dalixeria n'est pas hors du coup...”
Si les chevaux venant des Pays-Bas semblent un ton en dessous, Dragon des Racques, tout comme Dahlia du Rib, à l'extérieur de la première ligne, ont également leur mot à dire.
Lauréat du Grand Prix de l'UET 1989 avec Tipouf, Pierre Vercruysse aimerait atteindre, au moins, la finale cette année, et ce, avec un cheval de son entraînement : le perfectible Drôle de Jet. “J’ai coché cette date depuis quelque temps, mais après le tirage au sort et le n°9, juste en dedans en seconde ligne, avec un adversaire en dehors, disons que c'est moins évident dorénavant. Cela dit, j'aime voyager et je vais défendre mes chances...”
À l'heure où ces lignes ont été imprimées, les éliminatoires scandinaves livraient leur verdict. Ils étaient plus du double de chevaux en quête d'un ticket pour la finale du samedi 30 septembre à Solvalla. Huit se sont qualifiés, soit le double des élus parisiens (quatre).
Une nouvelle fois, on assistera à une confrontation entre Philippe Allaire et Sébastien Guarato, même si la doublette du second nommé évolue un, voire deux tons en dessous de celle du premier.
Django Riff et Dawana ne devraient pas laisser passer l'occasion d'un voyage en Suède. Sans doute moins doués que Charly du Noyer, ils sont par contre plus sûrs. Du côté “Allaire”, il ne devrait pas y avoir de désillusion, comme ce fut le cas l'an passé. D'ailleurs, Philippe aborde cette compétition sereinement : “Il ne faut pas se louper car cette année, c'est très ouvert pour la victoire finale. Il n'y a pas un cheval de la pointure de Readly Express ou de Bold Eagle, comme ce fut le cas deux années de suite. Ce Grand Prix, je l'ai en tête pour Dawana depuis pas mal de temps : c'est véritablement un objectif. Elle est vraiment très bien, comme d'ailleurs l'est également Django Riff. Mes deux chevaux sont très bien placés derrière l'autostart. Ce serait une vraie déception de ne pas les voir se qualifier...”
Sébastien Guarato, de son côté, se veut optimiste. “Évidemment, on n’a pas de prétentions pour la victoire, mais un sujet comme Dunbar peut être troisième. Dalixeria n'est pas hors du coup...”
Si les chevaux venant des Pays-Bas semblent un ton en dessous, Dragon des Racques, tout comme Dahlia du Rib, à l'extérieur de la première ligne, ont également leur mot à dire.
Lauréat du Grand Prix de l'UET 1989 avec Tipouf, Pierre Vercruysse aimerait atteindre, au moins, la finale cette année, et ce, avec un cheval de son entraînement : le perfectible Drôle de Jet. “J’ai coché cette date depuis quelque temps, mais après le tirage au sort et le n°9, juste en dedans en seconde ligne, avec un adversaire en dehors, disons que c'est moins évident dorénavant. Cela dit, j'aime voyager et je vais défendre mes chances...”
