• Le faux départ : Jusqu’à présent, le cheval ayant occasionné un faux départ devait s’élancer dans le dos d’un concurrent. Désormais, ce ne sera plus le cas, afin de ne pas pénaliser les parieurs. En revanche, le driver ou le jockey écopera de deux jours de suspension et d’une amende. En cas de second faux départ dans la même course, le cheval sera déclaré non partant et le driver ou jockey se verra infliger une mise à pied de huit jours et une amende.
• Les allures dans la ligne droite : Avant la réforme, au maximun cinq foulées de traquenard ou d’aubin étaient tolérées dans les deux cents derniers mètres. Ce nombre a été élargi à sept afin, principalement, de réduire le nombre d’enquêtes diligentées par les commissaires.