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Les TOPS
+ La nouvelle Cravache d’Or de Bertrand Lestrade
Il avait tué le suspense depuis quelques semaines et sa performance a quelque peu été éclipsée par le record de victoires de Christophe Soumillon, en plat, ou la 19e Cravache d’Or de JMB au trot, mais Bertrand Lestrade mérite, bien sûr, un grand coup de chapeau pour ses 92 victoires en obstacle et sa seconde Cravache d’Or.
+ La consécration d’Alexandre Abrivard
Son talent avait déjà été récompensé par une victoire dans le Prix de Cornulier (Scarlet Turgot, en 2016). Mais son sacre dans une course à l’Étrier d’Or très disputée et qui n’a vu son dénouement qu’en fin d’année marquera la carrière d’Alexandre Abrivard, 24 ans. Le fils aîné de Laurent Abrivard, survolté en décembre, a battu au sprint Yoann Lebourgeois et Adrien Lamy.
+ Propulsion, le grand rival de “Bold”
Sa victoire dans le Prix de Bourgogne devant Bold Eagle ne doit rien au hasard. Si le champion de Pierre Pilarski veut remporter un troisième Prix d’Amérique, il lui faudra battre le pensionnaire de Daniel Redén, Propulsion, impressionnant dimanche dernier, et peut-être avoir un peu moins de poids sous les sabots le jour J...
Les FLOPS
- Toute ressemblance ne serait que fortuite
Mercredi dernier, à Pau, New Ialy Barelière s’est imposée aisément pour l’entraînement d’Eva Imaz-Ceca. Certains mauvais esprits ont fait remarquer que, début décembre, cette pouliche s’était illustrée à Madrid également sous la selle de Ricardo Sousa Ferreira, mais pour l’entraînement Ana Imaz-Ceca (sœur d’Eva), suspendue un an en France après le contrôle positif au stanozolol (un stéroïde anabolisant de synthèse) d’un de ses pensionnaires.
- Des factures royales impayées…
Les propriétaires qataris ont du mal à honorer leurs factures en temps et en heure. C’est ce qu’ont révélé nos confrères du “Times”, expliquant que certains entraîneurs anglais et français, privés de paiement des pensions de princes du Golfe, avaient dû contracter des prêts bancaires pour faire face aux frais de leur écurie. Un simple problème comptable à l’heure de la clôture des bilans, a expliqué Al Shaqab Racing dans les colonnes du “Racing Post”.
+ La nouvelle Cravache d’Or de Bertrand Lestrade
Il avait tué le suspense depuis quelques semaines et sa performance a quelque peu été éclipsée par le record de victoires de Christophe Soumillon, en plat, ou la 19e Cravache d’Or de JMB au trot, mais Bertrand Lestrade mérite, bien sûr, un grand coup de chapeau pour ses 92 victoires en obstacle et sa seconde Cravache d’Or.
+ La consécration d’Alexandre Abrivard
Son talent avait déjà été récompensé par une victoire dans le Prix de Cornulier (Scarlet Turgot, en 2016). Mais son sacre dans une course à l’Étrier d’Or très disputée et qui n’a vu son dénouement qu’en fin d’année marquera la carrière d’Alexandre Abrivard, 24 ans. Le fils aîné de Laurent Abrivard, survolté en décembre, a battu au sprint Yoann Lebourgeois et Adrien Lamy.
+ Propulsion, le grand rival de “Bold”
Sa victoire dans le Prix de Bourgogne devant Bold Eagle ne doit rien au hasard. Si le champion de Pierre Pilarski veut remporter un troisième Prix d’Amérique, il lui faudra battre le pensionnaire de Daniel Redén, Propulsion, impressionnant dimanche dernier, et peut-être avoir un peu moins de poids sous les sabots le jour J...
Les FLOPS
- Toute ressemblance ne serait que fortuite
Mercredi dernier, à Pau, New Ialy Barelière s’est imposée aisément pour l’entraînement d’Eva Imaz-Ceca. Certains mauvais esprits ont fait remarquer que, début décembre, cette pouliche s’était illustrée à Madrid également sous la selle de Ricardo Sousa Ferreira, mais pour l’entraînement Ana Imaz-Ceca (sœur d’Eva), suspendue un an en France après le contrôle positif au stanozolol (un stéroïde anabolisant de synthèse) d’un de ses pensionnaires.
- Des factures royales impayées…
Les propriétaires qataris ont du mal à honorer leurs factures en temps et en heure. C’est ce qu’ont révélé nos confrères du “Times”, expliquant que certains entraîneurs anglais et français, privés de paiement des pensions de princes du Golfe, avaient dû contracter des prêts bancaires pour faire face aux frais de leur écurie. Un simple problème comptable à l’heure de la clôture des bilans, a expliqué Al Shaqab Racing dans les colonnes du “Racing Post”.
