Le professionnel s'exprime au sujet de Bellissima France, prétendante à sa propre succession, dimanche prochain, dans le Prix de Cornulier.
C'est à la campagne, dans l'établissement angevin des Abrivard père et fils que Bellissima France s'est préparée pour le Prix de Cornulier. “La jument a effectué son dernier boulot poussé lundi, explique Matthieu Abrivard. Elle a travaillé en fractionné. On a monté les tours. Très bien. Comme l'année dernière, c'est mon père qui s'en occupe, et on fait le point ensemble.” Concernant le début de meeting de sa championne, Matthieu a confié : “La préparation a été moins efficace que l'année dernière, où tout s'enquillait bien. On est arrivé en début d'hiver pas aussi affûté. Il fallait que l'on coure et cela s'est mal passé. Elle a fait des bêtises. C'était à nous de remettre certaines petites choses en place. Mais, la dernière fois, elle a rassuré. Ferrée, j'ai couru sans prendre de risques. J'ai suivi librement toute la route et elle a mis un bon coup de reins pour finir, en dedans. Elle était parfaite, bien droite, c'est ce qu'on voulait avant d'aborder la belle.”
La fille de Blue Dream va tenter de conserver son titre, dimanche. “La jument ne doit son “Cornulier” de l'année dernière à personne. Si elle est sage et appliquée et que je la monte correctement, elle a encore un premier rôle à jouer. Je pars confiant. Je ne m'étais pas mis la pression l'an passé. J'ai abordé la course sereinement ; j'étais même un peu surpris de ne pas être plus tendu que ça. On va essayer d'être dans le même état d'esprit. L'opposition ? Avant le coup, c'est Bilibili. Comme l'année dernière, c'est lui le cheval à battre. Le cheval a pris de la maturité et a très, très bien gagné l'autre jour. Sa préparation s'est faite idéalement ; c'est le cheval de la course. Après, il y a quelques concurrents qui m'ont également plu. C'est ouvert, mais on va y aller avec des ambitions !”
C'est à la campagne, dans l'établissement angevin des Abrivard père et fils que Bellissima France s'est préparée pour le Prix de Cornulier. “La jument a effectué son dernier boulot poussé lundi, explique Matthieu Abrivard. Elle a travaillé en fractionné. On a monté les tours. Très bien. Comme l'année dernière, c'est mon père qui s'en occupe, et on fait le point ensemble.” Concernant le début de meeting de sa championne, Matthieu a confié : “La préparation a été moins efficace que l'année dernière, où tout s'enquillait bien. On est arrivé en début d'hiver pas aussi affûté. Il fallait que l'on coure et cela s'est mal passé. Elle a fait des bêtises. C'était à nous de remettre certaines petites choses en place. Mais, la dernière fois, elle a rassuré. Ferrée, j'ai couru sans prendre de risques. J'ai suivi librement toute la route et elle a mis un bon coup de reins pour finir, en dedans. Elle était parfaite, bien droite, c'est ce qu'on voulait avant d'aborder la belle.”
La fille de Blue Dream va tenter de conserver son titre, dimanche. “La jument ne doit son “Cornulier” de l'année dernière à personne. Si elle est sage et appliquée et que je la monte correctement, elle a encore un premier rôle à jouer. Je pars confiant. Je ne m'étais pas mis la pression l'an passé. J'ai abordé la course sereinement ; j'étais même un peu surpris de ne pas être plus tendu que ça. On va essayer d'être dans le même état d'esprit. L'opposition ? Avant le coup, c'est Bilibili. Comme l'année dernière, c'est lui le cheval à battre. Le cheval a pris de la maturité et a très, très bien gagné l'autre jour. Sa préparation s'est faite idéalement ; c'est le cheval de la course. Après, il y a quelques concurrents qui m'ont également plu. C'est ouvert, mais on va y aller avec des ambitions !”