pronoturf-Elodie et Phil 59

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    MON PREMIER PRIX D'AMÉRIQUE : SÉBASTIEN OLIVIER

    elodie
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    prix - MON PREMIER PRIX D'AMÉRIQUE : SÉBASTIEN OLIVIER Empty MON PREMIER PRIX D'AMÉRIQUE : SÉBASTIEN OLIVIER

    Message  elodie Ven 19 Jan - 11:38

    Pour vous emmener jusqu'à l'événement tant attendu du 28 janvier, dix professionnels nous racontent leur première participation au Prix d'Amérique. Après Jean-Claude Hallais, Sébastien Olivier prend le relais pour nous conter sa belle aventure avec Soléa Rivellière.


    Courir le Prix d'Amérique, avec une première chance ou pas, ce n'est pas donné à tout le monde. Les plus humbles prennent cela comme une grande opportunité, à l'image de Sébastien Olivier, sixième de l'édition 2016 au sulky de Soléa Rivellière, qui voit comme une aubaine d'être entré dans ce cercle très fermé. “Cela a été extraordinaire pour moi ! Un rêve pour l'employé que je suis, parcourant surtout la province. Philippe Daugeard, mon patron, qui met son personnel en valeur, m'a donné cette chance. Ayant déjà Univers de Pan (9e) dans la course, il a préféré me faire confiance plutôt que de faire appel à un top driver extérieur pour mener Soléa Rivellière. Et, avec les propriétaires, tout le monde était d'accord. J'ai pris cela comme un cadeau, une reconnaissance après toutes ces années (N.D.L.R. : dix-sept à ce jour).


    On courait pour se faire plaisir et, le jour J, cela a été plus que du plaisir. Je me souviens avoir bien dormi la veille, mais la pression a quand même fini par monter lors du défilé des drivers, effectué à moto. À ce moment-là, avec tout ce public, je me suis dit : “Là, on y est !”.


    Mon but était de ne pas faire de bêtises, surtout au départ. Puis une fois la course enclenchée, j'étais à fond dans mon parcours. Et j'en ai eu un bon. Je n'avais pas la jument la plus forte, mais elle était à 200 %, et j'ai été bien inspiré de me placer côté corde, qui s'est trouvé être le bon wagon, ce jour-là ; cela a été payant.


    Tout de même, j'ai éprouvé un grand soulagement après la course pour ne pas avoir fait d'erreurs. Mais je ne me suis pas senti meilleur pour autant ; je suis resté le même. Dès le lendemain, j'avais de nouveau les pieds sur terre ; c'est le cheval qui fait le driver.


    Pour cette année, la course est assez ouverte et je vois bien le cheval de Philippe Allaire, Bird Parker, qui a encore fait une belle prestation dimanche dernier dans le Prix de Belgique.”

      La date/heure actuelle est Ven 19 Avr - 15:04