Les tops
Ferré, Bird Parker a créé la sensation en enlevant le Prix de Belgique devant Bold Eagle. Classique monté et attelé, il figure parmi l’élite depuis l’âge de 2 ans et n’a jamais paru aussi fort. À quelques jours du Prix d’Amérique, il s’est hissé parmi les favoris, au même titre que Bold Eagle, Propulsion et Readly Express. Quelle affiche !
+ Le rebond des mises hippiques
Si le rebond ne s’est pas encore traduit du côté du Produit Brut des Jeux, ce que l’on nomme le “vrai chiffre d’affaires du PMU”, la hausse des paris hippiques en 2017 est incontestablement encourageante pour la filière. Relativement confiant, le directeur général délégué du PMU, Alain Resplandy-Bernard, estime que tous les clignotants - dont les enjeux dans le réseau en dur - seront au vert en 2018. Le résultat net devrait refranchir la barre des 800.000 euros. Un discours qui contraste avec ceux qui craignaient une cessation de paiement des sociétés de courses dès la fin l’année...
Les flops
- Affichages erronés des mises
“Pouvez-vous indiquer au PMU que les chiffres de ventilation des mises sur hippodrome sont parfois tronqués”, nous a signalé un parieur lors de la journée des turfistes à Vincennes. En effet, comme vous pouvez le constater sur l’écran ci-contre, les enjeux officiellement publiés sur l’hippodrome sont complètement faux. Exemple avec le Prix de Belgique : si les mises placées sur Readly Express (n°10) sont bien exactes (212.316 €), les mises gagnantes sont 10 fois inférieures à la réalité... Sur l’écran, il manque souvent un chiffre, que cela soit “gagnant” ou “placé”. Difficile pour les parieurs de s’y retrouver. Et ce problème est récurrent depuis des mois !
- Robert Collet dans le rôle du tonton flingueur
Fascinante intervention de Robert Collet sur l’antenne d’Equidia, lundi à Chantilly. Après avoir sous-entendu que les pigistes n’étaient pas des journalistes, rappelé qu’il ne parlait plus à la presse hippique parce qu’elle “se faisait des milliards”, affirmé qu’il n’avait jamais fait le tour en cinquante ans de carrière et que contrairement à d’autres, il n’était pas à la limite du dopage, l’entraîneur cantilien a rangé la “sulfateuse” pour délivrer quelques précieuses informations sur ses partants du jour, au micro de Guillaume Luyckx.
Ferré, Bird Parker a créé la sensation en enlevant le Prix de Belgique devant Bold Eagle. Classique monté et attelé, il figure parmi l’élite depuis l’âge de 2 ans et n’a jamais paru aussi fort. À quelques jours du Prix d’Amérique, il s’est hissé parmi les favoris, au même titre que Bold Eagle, Propulsion et Readly Express. Quelle affiche !
+ Le rebond des mises hippiques
Si le rebond ne s’est pas encore traduit du côté du Produit Brut des Jeux, ce que l’on nomme le “vrai chiffre d’affaires du PMU”, la hausse des paris hippiques en 2017 est incontestablement encourageante pour la filière. Relativement confiant, le directeur général délégué du PMU, Alain Resplandy-Bernard, estime que tous les clignotants - dont les enjeux dans le réseau en dur - seront au vert en 2018. Le résultat net devrait refranchir la barre des 800.000 euros. Un discours qui contraste avec ceux qui craignaient une cessation de paiement des sociétés de courses dès la fin l’année...
Les flops
- Affichages erronés des mises
“Pouvez-vous indiquer au PMU que les chiffres de ventilation des mises sur hippodrome sont parfois tronqués”, nous a signalé un parieur lors de la journée des turfistes à Vincennes. En effet, comme vous pouvez le constater sur l’écran ci-contre, les enjeux officiellement publiés sur l’hippodrome sont complètement faux. Exemple avec le Prix de Belgique : si les mises placées sur Readly Express (n°10) sont bien exactes (212.316 €), les mises gagnantes sont 10 fois inférieures à la réalité... Sur l’écran, il manque souvent un chiffre, que cela soit “gagnant” ou “placé”. Difficile pour les parieurs de s’y retrouver. Et ce problème est récurrent depuis des mois !
- Robert Collet dans le rôle du tonton flingueur
Fascinante intervention de Robert Collet sur l’antenne d’Equidia, lundi à Chantilly. Après avoir sous-entendu que les pigistes n’étaient pas des journalistes, rappelé qu’il ne parlait plus à la presse hippique parce qu’elle “se faisait des milliards”, affirmé qu’il n’avait jamais fait le tour en cinquante ans de carrière et que contrairement à d’autres, il n’était pas à la limite du dopage, l’entraîneur cantilien a rangé la “sulfateuse” pour délivrer quelques précieuses informations sur ses partants du jour, au micro de Guillaume Luyckx.