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Pierre Vercruysse franchit la barre des 2.000 succès
Je suis très heureux d’avoir pu signer ma 2.000e victoire au sulky de Di Maggio. J’ai gagné avec sa mère (Olivia Jet) et j’ai drivé son père, le crack Timoko. C’est une performance très symbolique, non pas par le nombre, car ce nombre 2.000 n’est pas trop à mon avantage, ayant, je pense, gagné plus de courses que cela, les épreuves à l’étranger n’étant pas toujours comptabilisées comme il le faut, mais ce succès obtenu pour mon entraînement, et une casaque qui m’est chère, me va droit au cœur. S’il fallait choisir une victoire parmi toutes ? Sans hésiter, la première. C’était à Graignes, avec un poulain inédit de la famille, devant ma mère et mes grands-parents et surtout sous les yeux de tous mes camarades de classe de l’école de Graignes. Un souvenir impérissable. Depuis, j’ai eu la chance de gagner dans plusieurs pays, comme la Suède, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie, mais également l’Autriche, la Suisse, la Belgique et la Finlande. J’ai également eu le bonheur de vaincre en Russie, aux États-Unis et aussi au Canada. Parmi les pays scandinaves, il n’y a qu’en Norvège et au Danemark, où je n’ai pas encore eu l’occasion de m’illustrer.
Chacune de mes victoires importantes a revêtu un caractère très symbolique. J’ai gagné ma 1.000e dans un quinté à Vincennes, pour José David (avec Kandy du Fruitier, le 27 août 2003), sous les yeux de mes enfants. Et la 1.500e, je l’avais remportée sur l’hippodrome de Chartres, peu de temps après mon accident. Comme un signe, puisque j’avais été hospitalisé à... Chartres. Il y a beaucoup trop de victoires qui m’ont marqué, pour en détacher une seule. Bien sûr, celle avec Meaulnes du Corta dans le Prix de France a été un moment très émouvant pour moi, puisqu’elle était la première depuis mon retour en compétition, après mon accident. Mais je n’oublie pas toutes celles obtenues pour Jean-Étienne Dubois, ni celle de Cobra Bleu dans le Prix Albert Viel, en collaboration avec mon ami, Reynald Coppens. La victoire à Cesena, avec Renommée d’Obret était également exceptionnelle. J’espère qu’il y en aura encore beaucoup d’autres.
Pierre Vercruysse, entraîneur-driver
Je suis très heureux d’avoir pu signer ma 2.000e victoire au sulky de Di Maggio. J’ai gagné avec sa mère (Olivia Jet) et j’ai drivé son père, le crack Timoko. C’est une performance très symbolique, non pas par le nombre, car ce nombre 2.000 n’est pas trop à mon avantage, ayant, je pense, gagné plus de courses que cela, les épreuves à l’étranger n’étant pas toujours comptabilisées comme il le faut, mais ce succès obtenu pour mon entraînement, et une casaque qui m’est chère, me va droit au cœur. S’il fallait choisir une victoire parmi toutes ? Sans hésiter, la première. C’était à Graignes, avec un poulain inédit de la famille, devant ma mère et mes grands-parents et surtout sous les yeux de tous mes camarades de classe de l’école de Graignes. Un souvenir impérissable. Depuis, j’ai eu la chance de gagner dans plusieurs pays, comme la Suède, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie, mais également l’Autriche, la Suisse, la Belgique et la Finlande. J’ai également eu le bonheur de vaincre en Russie, aux États-Unis et aussi au Canada. Parmi les pays scandinaves, il n’y a qu’en Norvège et au Danemark, où je n’ai pas encore eu l’occasion de m’illustrer.
Chacune de mes victoires importantes a revêtu un caractère très symbolique. J’ai gagné ma 1.000e dans un quinté à Vincennes, pour José David (avec Kandy du Fruitier, le 27 août 2003), sous les yeux de mes enfants. Et la 1.500e, je l’avais remportée sur l’hippodrome de Chartres, peu de temps après mon accident. Comme un signe, puisque j’avais été hospitalisé à... Chartres. Il y a beaucoup trop de victoires qui m’ont marqué, pour en détacher une seule. Bien sûr, celle avec Meaulnes du Corta dans le Prix de France a été un moment très émouvant pour moi, puisqu’elle était la première depuis mon retour en compétition, après mon accident. Mais je n’oublie pas toutes celles obtenues pour Jean-Étienne Dubois, ni celle de Cobra Bleu dans le Prix Albert Viel, en collaboration avec mon ami, Reynald Coppens. La victoire à Cesena, avec Renommée d’Obret était également exceptionnelle. J’espère qu’il y en aura encore beaucoup d’autres.
Pierre Vercruysse, entraîneur-driver
