La reine Enable a fait un rêve : celui de devenir la première championne à remporter le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe (Groupe I – 5.000.000 € - 2.400 mètres GP – 3 ans et plus) à trois reprises. Y parviendra-t-elle ? Réponse ce dimanche 6 octobre à ParisLongchamp, où la double tenante du titre affrontera onze adversaires.
Tous les regards seront braqués sur Enable (8 - Lanfranco Dettori), la double tenante du titre. Si elle n’avait pas failli en avril 2017 à Newbury, la fille de Nathaniel serait, tout simplement, invaincue en compétition. Sa couronne compte déjà, comme joyaux les plus étincelants, deux sacres dans « l’Arc ». Ce 6 octobre, elle va donc tenter d’entrer dans l’histoire en étant la première championne à remporter ce Groupe I à trois reprises. Elle reste sur une campagne estivale sans fausse note outre-Manche (trois succès pour trois essais). Comment se sent-elle à l’heure actuelle ? John Gosden, son metteur au point, nous répond : « Cette année, la préparation s'est mieux déroulée que la saison dernière. Elle avait eu un problème au genou et avait dû subir une petite intervention, pas très grave. Elle avait effectué sa rentrée en septembre et, une semaine après, était tombée malade. Pour être honnête, elle n'était pas au top de sa forme dans l'Arc 2018. Cette saison, toute la préparation s'est passée comme prévue. »
Qui suggérer pour tenter de l’empêcher de réussir cet exploit ? Penchons-nous sur le tandem de choc que va présenter l’incontournable Aidan-Patrick O'Brien. Le professionnel irlandais semble, cette année, bien armé pour jouer les trouble-fête avec Magical (9 - Donnacha O'Brien), en premier lieu, qui vient de mettre Leopardstown à ses pieds en remportant les Champions Stakes irlandaises. En second lieu, il faut redouter son compagnon d’entraînement Japan (10 – Ryan Moore), auteur, entre autres, d’un feu d’artifice victorieux dans la dernière édition du Juddmonte Grand Prix de Paris.
Waldgeist (2 - Pierre-Charles Boudot), quatrième de cette course l’an passé et récent vainqueur du Qatar Prix Foy, considéré comme une excellente préparatoire à « l’Arc », va tenter de jouer les invités surprise et amener un peu de « France » à l’arrivée, vu qu’il évolue sous la férule d’André Fabre. Jean-Claude Rouget, doublement présent, semble davantage compétitif avec Sottsass (12 - Cristian Demuro), gagnant du dernier « Jockey-Club » et du dernier Qatar Prix Niel. « Il ne faut pas chercher à compliquer les choses : il a l'air au top, nous a confié l’entraîneur palois. Il semble exceptionnel. À lui de nous le prouver. Comme je le dis souvent, tout est écrit et, si nous devons gagner, nous gagnerons. Très facile à monter, il s'adapte à toutes les situations. Il monte encore un peu en pression le jour J, mais c'est normal. Course après course, il prend de la maturité et de l'assurance. » Avec le supplémenté Soft Light (11 - Yutaka Take), cela semble plus compliqué.
French King (1 – Olivier Peslier), qui vient de casser la baraque dans le Grand Prix de Berlin, et le très bon japonais Fierement (6 - Christophe-Patrice Lemaire) peuvent bien se défendre dans la plus belle course au galop du monde.
Tous les regards seront braqués sur Enable (8 - Lanfranco Dettori), la double tenante du titre. Si elle n’avait pas failli en avril 2017 à Newbury, la fille de Nathaniel serait, tout simplement, invaincue en compétition. Sa couronne compte déjà, comme joyaux les plus étincelants, deux sacres dans « l’Arc ». Ce 6 octobre, elle va donc tenter d’entrer dans l’histoire en étant la première championne à remporter ce Groupe I à trois reprises. Elle reste sur une campagne estivale sans fausse note outre-Manche (trois succès pour trois essais). Comment se sent-elle à l’heure actuelle ? John Gosden, son metteur au point, nous répond : « Cette année, la préparation s'est mieux déroulée que la saison dernière. Elle avait eu un problème au genou et avait dû subir une petite intervention, pas très grave. Elle avait effectué sa rentrée en septembre et, une semaine après, était tombée malade. Pour être honnête, elle n'était pas au top de sa forme dans l'Arc 2018. Cette saison, toute la préparation s'est passée comme prévue. »
Qui suggérer pour tenter de l’empêcher de réussir cet exploit ? Penchons-nous sur le tandem de choc que va présenter l’incontournable Aidan-Patrick O'Brien. Le professionnel irlandais semble, cette année, bien armé pour jouer les trouble-fête avec Magical (9 - Donnacha O'Brien), en premier lieu, qui vient de mettre Leopardstown à ses pieds en remportant les Champions Stakes irlandaises. En second lieu, il faut redouter son compagnon d’entraînement Japan (10 – Ryan Moore), auteur, entre autres, d’un feu d’artifice victorieux dans la dernière édition du Juddmonte Grand Prix de Paris.
Waldgeist (2 - Pierre-Charles Boudot), quatrième de cette course l’an passé et récent vainqueur du Qatar Prix Foy, considéré comme une excellente préparatoire à « l’Arc », va tenter de jouer les invités surprise et amener un peu de « France » à l’arrivée, vu qu’il évolue sous la férule d’André Fabre. Jean-Claude Rouget, doublement présent, semble davantage compétitif avec Sottsass (12 - Cristian Demuro), gagnant du dernier « Jockey-Club » et du dernier Qatar Prix Niel. « Il ne faut pas chercher à compliquer les choses : il a l'air au top, nous a confié l’entraîneur palois. Il semble exceptionnel. À lui de nous le prouver. Comme je le dis souvent, tout est écrit et, si nous devons gagner, nous gagnerons. Très facile à monter, il s'adapte à toutes les situations. Il monte encore un peu en pression le jour J, mais c'est normal. Course après course, il prend de la maturité et de l'assurance. » Avec le supplémenté Soft Light (11 - Yutaka Take), cela semble plus compliqué.
French King (1 – Olivier Peslier), qui vient de casser la baraque dans le Grand Prix de Berlin, et le très bon japonais Fierement (6 - Christophe-Patrice Lemaire) peuvent bien se défendre dans la plus belle course au galop du monde.