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Dimanche à Paris-Vincennes, Grand Prix de France J-3.
L'objectif de l'hiver d'Uza Josselyn, fixé il y a plusieurs mois par René Aebischer, approche à grands pas. L'une des juments les plus rapides d'Europe retrouvera les 2.100 mètres de la grande piste de Paris-Vincennes, sur lesquels elle compte trois succès et six places dans les quatre premiers, en dix tentatives. Elle a, notamment, terminé deuxième du Prix René Ballière 2018 (1'10''5, soit son record sur le parcours), et de la dernière édition du Prix de France (1'10''7). “Elle réalisait alors une grande performance en dominant Bold Eagle à la lutte, en retrait de l'intouchable Readly Express, se remémorait son mentor, mercredi matin à Grosbois. Même si elle a bien tenu sa partie à plusieurs reprises sur les longues distances, cet hiver, c'est vrai que son truc à Vincennes, ce sont les “2.100 de la grande”.”
Revenant sur la huitième place de sa championne dans le Grand Prix d'Amérique, René Aebischer poursuivait : “Elle n'a pas été trop heureuse, peut-être parce qu'elle n'a pas eu le “gaz” nécessaire au bon moment, mais j'estime qu'elle a mieux couru qu'en 2019. À trente centimètres près, elle aurait pu terminer cinquième... En tout cas, elle est toujours aussi volontaire et me plaît beaucoup. Elle n'a fait que de l'entretien depuis. C'est une femelle de 9 ans, désormais, et je lui laisse donc davantage de fraîcheur entre deux “gros morceaux”. De toute façon, je ne vais pas la transformer en deux semaines ; je ne suis pas magicien ! L'idéal serait d'hériter d'un numéro inférieur à 4. Si nous ne faisons pas moins bien que l'an passé, ce sera le top (rires) !”
Uza Josselyn, qui s'est exercée avec des petites œillères en début de semaine, se déplacera ensuite à Cagnes-sur-Mer, le 8 mars.
L'objectif de l'hiver d'Uza Josselyn, fixé il y a plusieurs mois par René Aebischer, approche à grands pas. L'une des juments les plus rapides d'Europe retrouvera les 2.100 mètres de la grande piste de Paris-Vincennes, sur lesquels elle compte trois succès et six places dans les quatre premiers, en dix tentatives. Elle a, notamment, terminé deuxième du Prix René Ballière 2018 (1'10''5, soit son record sur le parcours), et de la dernière édition du Prix de France (1'10''7). “Elle réalisait alors une grande performance en dominant Bold Eagle à la lutte, en retrait de l'intouchable Readly Express, se remémorait son mentor, mercredi matin à Grosbois. Même si elle a bien tenu sa partie à plusieurs reprises sur les longues distances, cet hiver, c'est vrai que son truc à Vincennes, ce sont les “2.100 de la grande”.”
Revenant sur la huitième place de sa championne dans le Grand Prix d'Amérique, René Aebischer poursuivait : “Elle n'a pas été trop heureuse, peut-être parce qu'elle n'a pas eu le “gaz” nécessaire au bon moment, mais j'estime qu'elle a mieux couru qu'en 2019. À trente centimètres près, elle aurait pu terminer cinquième... En tout cas, elle est toujours aussi volontaire et me plaît beaucoup. Elle n'a fait que de l'entretien depuis. C'est une femelle de 9 ans, désormais, et je lui laisse donc davantage de fraîcheur entre deux “gros morceaux”. De toute façon, je ne vais pas la transformer en deux semaines ; je ne suis pas magicien ! L'idéal serait d'hériter d'un numéro inférieur à 4. Si nous ne faisons pas moins bien que l'an passé, ce sera le top (rires) !”
Uza Josselyn, qui s'est exercée avec des petites œillères en début de semaine, se déplacera ensuite à Cagnes-sur-Mer, le 8 mars.
