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Après avoir vainement tenté sa chance dans les deux premières “B”, la belle Uza Josselyn a remis les pendules à l'heure, ce dimanche, sur le parcours classique de la grande piste, dominant tout à la fin le grandissime favori, Afghan Barbés.
Une classe folle. Lorsqu'elle peut être préservée, la belle “franco-suisse” Uza Josselyn est irrésistible. Lauréate du Prix de la Manche, cet été à Enghien, dans un excellent style, après avoir été dominée par Afghan Barbés dans le Prix Bertrand Deloison, sur la cendrée, la ballerine fille de Love You a pris sa revanche sur la "barre de fer” de l'écurie Bigeon, ce dimanche, bouclant son parcours sur un drôle de pied. Pourtant, encore pointée en queue de peloton dans le tournant final, la pensionnaire de la famille Aebischer, n'a été lancée qu'à l’entrée de la ligne droite par Alexandre Abrivard, après avoir pu profiter du sillage d'Une Sérénade dans le tournant final. “J'ai mis du temps à bien la comprendre”, commente, humblement, Alexandre Abrivard, à son retour aux vestiaires. Dans des conditions optimales, comme cela a été le cas ce dimanche, Uza Josselyn n'est pas sans rappeler une autre “super ballerine” élevée par la famille Bernard, issue de Love You, elle aussi, à savoir l'excellente Bélina Josselyn, laquelle aura les plus hautes ambitions lors du dernier dimanche de janvier.
“Afghan Barbésa fait le boulot”
Vite aux avant-postes, le grandissime favori et rouleau compresseur de famille Bigeon, Afghan Barbés, a longtemps fait illusion pour la victoire. “Il a fait tout le boulot et s'est un peu relâché pour finir”, lance, un tantinet amer, Charles Bigeon à sa descente de sulky. Sa performance n'en demeure pas moins excellente, puisqu'il est le seul concurrent à avoir figuré aux avant-postes, à lutter pour les premières places. Pour sa première tentative à ce niveau à Vincennes, le fils de Meaulnes du Corta n'a surtout pas été ridicule et ne devrait pas tarder à retrouver le chemin du succès...
Le monté en ligne de mire
Avant le coup, les concurrents du second échelon étaient “condamnés”. Et après un départ raté pour les trois concurrents, c'est devenu mission impossible. Qu'à cela ne tienne, Arlington Dream, engagé dans le Prix Yvonnick Bodin le 30 décembre, et Uppercut de Manche (lequel se dirigera sûrement vers le Prix Jules Lemonnier, samedi) ont donné satisfaction à leur partenaire respectif, Yoann Lebourgeois, et Damien Bonne (lire ci-contre).
Et que dire de l'excellente rentrée de Call Me Keeper, pourtant pas revu en piste depuis le mois de février et sa tentative dans le Grand Prix de France ? Prenez un abonnement !
Une classe folle. Lorsqu'elle peut être préservée, la belle “franco-suisse” Uza Josselyn est irrésistible. Lauréate du Prix de la Manche, cet été à Enghien, dans un excellent style, après avoir été dominée par Afghan Barbés dans le Prix Bertrand Deloison, sur la cendrée, la ballerine fille de Love You a pris sa revanche sur la "barre de fer” de l'écurie Bigeon, ce dimanche, bouclant son parcours sur un drôle de pied. Pourtant, encore pointée en queue de peloton dans le tournant final, la pensionnaire de la famille Aebischer, n'a été lancée qu'à l’entrée de la ligne droite par Alexandre Abrivard, après avoir pu profiter du sillage d'Une Sérénade dans le tournant final. “J'ai mis du temps à bien la comprendre”, commente, humblement, Alexandre Abrivard, à son retour aux vestiaires. Dans des conditions optimales, comme cela a été le cas ce dimanche, Uza Josselyn n'est pas sans rappeler une autre “super ballerine” élevée par la famille Bernard, issue de Love You, elle aussi, à savoir l'excellente Bélina Josselyn, laquelle aura les plus hautes ambitions lors du dernier dimanche de janvier.
“Afghan Barbésa fait le boulot”
Vite aux avant-postes, le grandissime favori et rouleau compresseur de famille Bigeon, Afghan Barbés, a longtemps fait illusion pour la victoire. “Il a fait tout le boulot et s'est un peu relâché pour finir”, lance, un tantinet amer, Charles Bigeon à sa descente de sulky. Sa performance n'en demeure pas moins excellente, puisqu'il est le seul concurrent à avoir figuré aux avant-postes, à lutter pour les premières places. Pour sa première tentative à ce niveau à Vincennes, le fils de Meaulnes du Corta n'a surtout pas été ridicule et ne devrait pas tarder à retrouver le chemin du succès...
Le monté en ligne de mire
Avant le coup, les concurrents du second échelon étaient “condamnés”. Et après un départ raté pour les trois concurrents, c'est devenu mission impossible. Qu'à cela ne tienne, Arlington Dream, engagé dans le Prix Yvonnick Bodin le 30 décembre, et Uppercut de Manche (lequel se dirigera sûrement vers le Prix Jules Lemonnier, samedi) ont donné satisfaction à leur partenaire respectif, Yoann Lebourgeois, et Damien Bonne (lire ci-contre).
Et que dire de l'excellente rentrée de Call Me Keeper, pourtant pas revu en piste depuis le mois de février et sa tentative dans le Grand Prix de France ? Prenez un abonnement !
