JO 2018 : LE SKIEUR GUS KENWORTHY ET SON COMPAGNON SAUVENT UN CHIEN D’UN ABATTOIR EN CORÉE
« Les chiens sont nos amis, pas de la nourriture ». Le message du skieur freestyle américain Gus Kenworthy est clair. Celui qui a osé embrasser son petit ami en bas des pistes à Pyeongchang après la finale de ski slopestyle a dénoncé la consommation de viande de chien, autorisée en Corée du Sud.
Se défendant de juger la culture coréenne en expliquant que « ce n’est pas son rôle d’imposer ses idéaux occidentaux », le skieur affirme cependant que « la façon dont ces animaux sont traités est complètement inhumaine et la culture ne devrait pas être un bouc émissaire de la cruauté ».
Des chiens en état de malnutrition et abusés physiquement
Le sportif raconte que dans ces élevages, « les chiens sont en état de malnutrition et abusés physiquement, entassés dans des petits enclos et exposés aux conditions hivernales glaciales et aux étés torrides ». Gus Kenworthy ajoute que les chiens sont tués les uns devant les autres par électrocution et qu’ils « agonisent parfois une vingtaine de minutes » avant de mourir.
Pourtant « ces chiens ne sont pas différents de ceux que l’on appelle nos animaux de compagnie. Certains l’ont même été avant d’être volés ou trouvés et vendus au marché de la viande de chien » affirme-t-il.
Seul point positif dans le message du skieur, la ferme qu’il a visité a été fermée et les 90 chiens qui y vivaient vont être emmenés aux Etats-Unis et au Canada pour y être adoptés. Résultat, Gus Kenworthy a annoncé avoir adopté l’une des boules de poil, une petite chienne que le couple a baptisé Beemo.
« Les chiens sont nos amis, pas de la nourriture ». Le message du skieur freestyle américain Gus Kenworthy est clair. Celui qui a osé embrasser son petit ami en bas des pistes à Pyeongchang après la finale de ski slopestyle a dénoncé la consommation de viande de chien, autorisée en Corée du Sud.
Se défendant de juger la culture coréenne en expliquant que « ce n’est pas son rôle d’imposer ses idéaux occidentaux », le skieur affirme cependant que « la façon dont ces animaux sont traités est complètement inhumaine et la culture ne devrait pas être un bouc émissaire de la cruauté ».
Des chiens en état de malnutrition et abusés physiquement
Le sportif raconte que dans ces élevages, « les chiens sont en état de malnutrition et abusés physiquement, entassés dans des petits enclos et exposés aux conditions hivernales glaciales et aux étés torrides ». Gus Kenworthy ajoute que les chiens sont tués les uns devant les autres par électrocution et qu’ils « agonisent parfois une vingtaine de minutes » avant de mourir.
Pourtant « ces chiens ne sont pas différents de ceux que l’on appelle nos animaux de compagnie. Certains l’ont même été avant d’être volés ou trouvés et vendus au marché de la viande de chien » affirme-t-il.
Seul point positif dans le message du skieur, la ferme qu’il a visité a été fermée et les 90 chiens qui y vivaient vont être emmenés aux Etats-Unis et au Canada pour y être adoptés. Résultat, Gus Kenworthy a annoncé avoir adopté l’une des boules de poil, une petite chienne que le couple a baptisé Beemo.