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Dimanche à Mons (Belgique), Grand Prix de Wallonie (groupe I) - Après l'intermède de La Capelle, joué au moment d'une logique décompression ayant suivi ses succès dans l'Elitloppet et le Kymi Grand Prix, l'actuel chef de file de l'UET Masters retrouve son terrain de jeu, celui des groupes I ; et ce en terre conquise l'an passé.
“Début juillet, dans le Nord, nous avons été devancés à la régulière par Roi du Lupin. Timoko n'a pu faire mieux à cette occasion, d'autant que Björn Goop, son driver, l'a vraiment respecté, sachant qu'il avait beaucoup donné avant. Là, je m'attends vraiment à ce qu'il prenne sa revanche. Il retrouve aussi un tracé davantage dans ses cordes, étant dorénavant bien réglé sur des pistes du genre de celles que l'on trouve en Scandinavie ou comme celle de Mons. Le cheval est resté en Normandie, au Haras de Sassy, après la saison de monte. Je suis allé le travailler samedi. Franchement, il est très bien. Dimanche, on ira devant. Si cela se passe bien, il se peut qu'il aille directement sur son deuxième grand objectif de l'année (le premier, c'était l'Elitloppet) : la finale de l'UET Masters Series, le 14 septembre, à Charlottenlund (Copenhague). Sinon, il y a Cagnes…”
Un Cédric Mégissier ambitieux
Évidemment, le trotteur en quête d'un onzième groupe I “zappera” le Prix d'Été, disputé huit jours avant le sommet européen du Danemark. Ce ne sera pas le cas d'Uhlan du Val, le rival désigné de dimanche, venant de terminer lui aussi sa saison de monte. Cédric Mégissier a son idée de l'événement : “Il a bien récupéré de sa sortie victorieuse aux Sables-d'Olonne. J 'aurais préféré qu'il s'élance en dedans de Timoko (5) et Roi du Lupin(4) et non à leur extérieur (6). Je pense que cela va se jouer à peu de choses en Belgique, à des détails. La tactique de course sera déterminante. Une chose est sûre, il sera à Vincennes le 6 septembre. Après...”
L'œil du pro
Mais qui est mieux placé pour analyser la situation que Jean-Paul Marmion, l'entraîneur de Roi du Lupin, le troisième cheval en vue de l'épreuve reine du calendrier belge (2.300 mètres - autostart). Avec Roi du Lupin, il a devancé Timoko, mais a ensuite dû s'incliner face à Uhlan duVal. La logique veut aussi que le dernier nommé l'emporte. Ce serait si simple…
“Roi du Lupin est dans une très belle forme. Avant le coup, je signe pour être troisième. Cette fois, je ne pense pas devancer Timoko, ni prendre notre revanche sur le cheval de Cédric…” Avant d'ajouter : “La situation en Scandinavie est telle que Roi du Lupin n'ira pas à Copenhague. Je ne peux prendre le risque d'y envoyer Anthony Barrier et qu'il revienne avec une importante mise à pied ou des amendes pouvant dépasser le salaire mensuel de nos employés...”
Si ces trois trotteurs focalisent l'esprit, il ne faut surtout pas oublier Olmo Holz (1), drivé par un Christophe Martens toujours désireux de très bien faire dans les grandes affiches, encore plus dans celle-ci, et Pascia'Lest (2), transparent dans la Loterie de Naples, mais héroïque dans le Prix de l'Atlantique, puis pas vraiment chanceux à Solvalla.
Quant à Jos Verbeeck, vainqueur l'an passé avec Timoko, il n'est pas dans la même configuration, mais attention : Deuxième Picsous (7) n'est pas avare de ses efforts.
“Début juillet, dans le Nord, nous avons été devancés à la régulière par Roi du Lupin. Timoko n'a pu faire mieux à cette occasion, d'autant que Björn Goop, son driver, l'a vraiment respecté, sachant qu'il avait beaucoup donné avant. Là, je m'attends vraiment à ce qu'il prenne sa revanche. Il retrouve aussi un tracé davantage dans ses cordes, étant dorénavant bien réglé sur des pistes du genre de celles que l'on trouve en Scandinavie ou comme celle de Mons. Le cheval est resté en Normandie, au Haras de Sassy, après la saison de monte. Je suis allé le travailler samedi. Franchement, il est très bien. Dimanche, on ira devant. Si cela se passe bien, il se peut qu'il aille directement sur son deuxième grand objectif de l'année (le premier, c'était l'Elitloppet) : la finale de l'UET Masters Series, le 14 septembre, à Charlottenlund (Copenhague). Sinon, il y a Cagnes…”
Un Cédric Mégissier ambitieux
Évidemment, le trotteur en quête d'un onzième groupe I “zappera” le Prix d'Été, disputé huit jours avant le sommet européen du Danemark. Ce ne sera pas le cas d'Uhlan du Val, le rival désigné de dimanche, venant de terminer lui aussi sa saison de monte. Cédric Mégissier a son idée de l'événement : “Il a bien récupéré de sa sortie victorieuse aux Sables-d'Olonne. J 'aurais préféré qu'il s'élance en dedans de Timoko (5) et Roi du Lupin(4) et non à leur extérieur (6). Je pense que cela va se jouer à peu de choses en Belgique, à des détails. La tactique de course sera déterminante. Une chose est sûre, il sera à Vincennes le 6 septembre. Après...”
L'œil du pro
Mais qui est mieux placé pour analyser la situation que Jean-Paul Marmion, l'entraîneur de Roi du Lupin, le troisième cheval en vue de l'épreuve reine du calendrier belge (2.300 mètres - autostart). Avec Roi du Lupin, il a devancé Timoko, mais a ensuite dû s'incliner face à Uhlan duVal. La logique veut aussi que le dernier nommé l'emporte. Ce serait si simple…
“Roi du Lupin est dans une très belle forme. Avant le coup, je signe pour être troisième. Cette fois, je ne pense pas devancer Timoko, ni prendre notre revanche sur le cheval de Cédric…” Avant d'ajouter : “La situation en Scandinavie est telle que Roi du Lupin n'ira pas à Copenhague. Je ne peux prendre le risque d'y envoyer Anthony Barrier et qu'il revienne avec une importante mise à pied ou des amendes pouvant dépasser le salaire mensuel de nos employés...”
Si ces trois trotteurs focalisent l'esprit, il ne faut surtout pas oublier Olmo Holz (1), drivé par un Christophe Martens toujours désireux de très bien faire dans les grandes affiches, encore plus dans celle-ci, et Pascia'Lest (2), transparent dans la Loterie de Naples, mais héroïque dans le Prix de l'Atlantique, puis pas vraiment chanceux à Solvalla.
Quant à Jos Verbeeck, vainqueur l'an passé avec Timoko, il n'est pas dans la même configuration, mais attention : Deuxième Picsous (7) n'est pas avare de ses efforts.
