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Scarlet Turgot et Viking Blue ont travaillé de concert, lundi après-midi avant le début de la réunion sur l'hippodrome de Marseille-Vivaux.
Un premier heat vers 12 heures 30, puis un travail poussé – en deux temps – une heure plus tard. “Viking”, à la corde avec Yannick-Alain Briand au sulky, et Scarlet Turgot, dans son dos, associée à Julien Grumetz. Au terme des deux travaux – 1.600 mètres - ponctués par une ligne droite accomplie sur un bon rythme, “Scarlet” est venue conclure à la hauteur de “Viking”, sans avoir à forcer son talent.
Visiblement très satisfait à l'issue de cet exercice, Yannick-Alain Briand analyse : “La jument a besoin de fraîcheur physique, avant une course. C'est la raison pour laquelle j'ai fait l'impasse sur le “Calvados”. J'aurais toutefois souhaité lui donner une vraie course à l'attelé, mais son programme ne lui offrait qu'une possibilité, celle de disputer le Prix de la Côte d'Azur. J'ai préféré l'amener à Cagnes, le jour de Noël, puis parfaire sa préparation par ce bon travail à Vivaux, avant d'apporter une touche finale à sa condition à la maison. Je dois vous avouer que cet exercice m'a pleinement satisfait, surtout au deuxième boulot, où Viking Blue est apparu très tonique. Lui va participer, samedi sur le plateau de Gravelle, au Prix du Forez, une belle épreuve où il n'aura pas à affronter les étrangers. C'est le vrai trotteur de Vincennes, où le tracé sélectif lui permet d'exprimer tout son potentiel. À l'inverse de la jument, lui a besoin d'un travail poussé, à cinq jours d'une compétition. Sachez que jusqu'au “Cornulier”, “Scarlet” ne va pas changer ses habitudes. Ce soir, elle ira dans son paddock – avec une couverture sur le dos – retrouver sa copine Ubrine. La veille de la course, elle prendra la direction de l'établissement de Bruno Bourgoin, où elle s'y trouve comme la maison. Pour la “belle”, elle sera déferrée des quatre pieds, ce qui n'a pas été le cas depuis six mois.”
Scarlet Turgot et Viking Blue ont travaillé de concert, lundi après-midi avant le début de la réunion sur l'hippodrome de Marseille-Vivaux.
Un premier heat vers 12 heures 30, puis un travail poussé – en deux temps – une heure plus tard. “Viking”, à la corde avec Yannick-Alain Briand au sulky, et Scarlet Turgot, dans son dos, associée à Julien Grumetz. Au terme des deux travaux – 1.600 mètres - ponctués par une ligne droite accomplie sur un bon rythme, “Scarlet” est venue conclure à la hauteur de “Viking”, sans avoir à forcer son talent.
Visiblement très satisfait à l'issue de cet exercice, Yannick-Alain Briand analyse : “La jument a besoin de fraîcheur physique, avant une course. C'est la raison pour laquelle j'ai fait l'impasse sur le “Calvados”. J'aurais toutefois souhaité lui donner une vraie course à l'attelé, mais son programme ne lui offrait qu'une possibilité, celle de disputer le Prix de la Côte d'Azur. J'ai préféré l'amener à Cagnes, le jour de Noël, puis parfaire sa préparation par ce bon travail à Vivaux, avant d'apporter une touche finale à sa condition à la maison. Je dois vous avouer que cet exercice m'a pleinement satisfait, surtout au deuxième boulot, où Viking Blue est apparu très tonique. Lui va participer, samedi sur le plateau de Gravelle, au Prix du Forez, une belle épreuve où il n'aura pas à affronter les étrangers. C'est le vrai trotteur de Vincennes, où le tracé sélectif lui permet d'exprimer tout son potentiel. À l'inverse de la jument, lui a besoin d'un travail poussé, à cinq jours d'une compétition. Sachez que jusqu'au “Cornulier”, “Scarlet” ne va pas changer ses habitudes. Ce soir, elle ira dans son paddock – avec une couverture sur le dos – retrouver sa copine Ubrine. La veille de la course, elle prendra la direction de l'établissement de Bruno Bourgoin, où elle s'y trouve comme la maison. Pour la “belle”, elle sera déferrée des quatre pieds, ce qui n'a pas été le cas depuis six mois.”
