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Auteur d'un meeting d'hiver remarquable, Timoko va tenter de conserver son titre dimanche dans le Grand Critérium de Vitesse de la Côte d'Azur sur le mile de la piste cagnoise.
Héros - malheureux, mais valeureux - du meeting d'hiver, où ses joutes endiablées avec Bold Eagle dans les Prix d'Amérique et de France resteront comme des moments forts, Timoko a repris ses habitudes au Haras de Sassy pour effectuer une nouvelle saison de monte, laissant derrière lui sa tentative dans le Grand Prix de Paris. Une course particulière qui ne réussit pas au pensionnaire de Richard Westerink, mais ce dernier ne regrette pas son choix : “Non, ce n'était pas la course de trop. Le déroulement de l'épreuve n'a pas joué en faveur de Timoko. C'était une course bizarre, comme souvent, mais la longue distance n'était pas un problème contrairement à ce que j'ai pu entendre. Il a quand même réalisé un très joli meeting, courant sa meilleure valeur et même plus.”
L'EUROPE EN VUE
Timoko va désormais délaisser la cendrée de Vincennes pour s'orienter vers une campagne printanière en Scandinavie avec comme objectif majeur l'Elitloppet. Mais avant cela, il va défendre son titre dans le Grand Critérium de Vitesse de la Côte d'Azur et retrouver un hippodrome où il est invaincu en quatre tentatives, à chaque fois sur le parcours des 1.609 mètres : “Sans minimiser l'opposition, les épreuves sont quand même moins relevées qu'à Vincennes ou à l'étranger. Il y a moins de concurrence et lors de nos quatre victoires sur cette piste, on a tiré à chaque fois un bon numéro derrière la voiture, ce qui est primordial pour ambitionner le succès. De toute façon, Timoko s'adapte partout comme le prouvent son palmarès et ses 12 groupes I acquis aussi bien sur la grande piste de Vincennes qu'en Suède, en Finlande ou sur la Côte d'Azur. C'est aussi une de ses forces.”
CONVAINCANT AU TRAVAIL
À la sortie du Prix de Paris, Richard Westerink ne savait pas encore si un déplacement dans le sud de la France était au programme de son champion, mais le dernier travail de Timoko, ce mardi en Normandie, l'a conforté dans son choix de viser une nouvelle victoire dans cette épreuve : “Sa participation dépendait de son boulot et comme il a très bien travaillé, j'ai pris la décision de courir à Cagnes-sur-Mer dimanche. Je suis allé spécialement au Haras de Sassy pour le travailler et il m'a vraiment bien plu. Il a fait des intervalles, six fois cinq cents mètres, et a bien avancé sur les derniers. Il était “nickel”. Tous les feux sont au vert, mais on attend désormais notre numéro.”
Lauréat en 2013 et l'an dernier de ce Grand Critérium de Vitesse de la Côte d'Azur, Timoko essaiera donc d'inscrire pour la troisième fois son nom au palmarès de ce groupe I et se rapprocher un peu plus d'Ourasi et Une de Mai qui comptent respectivement quatre et cinq succès dans cette épreuve.
Héros - malheureux, mais valeureux - du meeting d'hiver, où ses joutes endiablées avec Bold Eagle dans les Prix d'Amérique et de France resteront comme des moments forts, Timoko a repris ses habitudes au Haras de Sassy pour effectuer une nouvelle saison de monte, laissant derrière lui sa tentative dans le Grand Prix de Paris. Une course particulière qui ne réussit pas au pensionnaire de Richard Westerink, mais ce dernier ne regrette pas son choix : “Non, ce n'était pas la course de trop. Le déroulement de l'épreuve n'a pas joué en faveur de Timoko. C'était une course bizarre, comme souvent, mais la longue distance n'était pas un problème contrairement à ce que j'ai pu entendre. Il a quand même réalisé un très joli meeting, courant sa meilleure valeur et même plus.”
L'EUROPE EN VUE
Timoko va désormais délaisser la cendrée de Vincennes pour s'orienter vers une campagne printanière en Scandinavie avec comme objectif majeur l'Elitloppet. Mais avant cela, il va défendre son titre dans le Grand Critérium de Vitesse de la Côte d'Azur et retrouver un hippodrome où il est invaincu en quatre tentatives, à chaque fois sur le parcours des 1.609 mètres : “Sans minimiser l'opposition, les épreuves sont quand même moins relevées qu'à Vincennes ou à l'étranger. Il y a moins de concurrence et lors de nos quatre victoires sur cette piste, on a tiré à chaque fois un bon numéro derrière la voiture, ce qui est primordial pour ambitionner le succès. De toute façon, Timoko s'adapte partout comme le prouvent son palmarès et ses 12 groupes I acquis aussi bien sur la grande piste de Vincennes qu'en Suède, en Finlande ou sur la Côte d'Azur. C'est aussi une de ses forces.”
CONVAINCANT AU TRAVAIL
À la sortie du Prix de Paris, Richard Westerink ne savait pas encore si un déplacement dans le sud de la France était au programme de son champion, mais le dernier travail de Timoko, ce mardi en Normandie, l'a conforté dans son choix de viser une nouvelle victoire dans cette épreuve : “Sa participation dépendait de son boulot et comme il a très bien travaillé, j'ai pris la décision de courir à Cagnes-sur-Mer dimanche. Je suis allé spécialement au Haras de Sassy pour le travailler et il m'a vraiment bien plu. Il a fait des intervalles, six fois cinq cents mètres, et a bien avancé sur les derniers. Il était “nickel”. Tous les feux sont au vert, mais on attend désormais notre numéro.”
Lauréat en 2013 et l'an dernier de ce Grand Critérium de Vitesse de la Côte d'Azur, Timoko essaiera donc d'inscrire pour la troisième fois son nom au palmarès de ce groupe I et se rapprocher un peu plus d'Ourasi et Une de Mai qui comptent respectivement quatre et cinq succès dans cette épreuve.
