Même si Propulsion, le lauréat des deux courses qu'elle a disputées, en Finlande, puis en Suède, n'est pas de la partie, la jument française et Pierre Vercruysse devront sortir le grand jeu en Norvège dimanche. À proprement parler, le fait de s'élancer en seconde ligne, avec le 10, n'est pas le souci majeur de l'élève de Sofia Aronsson, sachant que la fille de Ludo de Castelle est plus un diesel qu'un dragster dans cet exercice. La présence par contre de deux ou trois très bons chevaux du circuit européen en est un à l'évidence.
Réservée aux 3 ans jusqu'à l'an passé, cette épreuve (2.100 m., autostart) est dédiée à celui que Jos Verbeeck (présent dimanche sur l'hippodrome) considère comme l'un des plus grands drivers qu'il a rencontrés : Ulf Thoresen. Le public fera communion avec feu l'idole, sorte de “Jimi Hendrix du trot” et fierté nationale, à l'heure des récompenses. Ake Lindblom espère bien être celui qui brandira le trophée : “Les “Souloy” ne sont pas là. Örjan (Kihlström) non plus. C'est notre jour avec Sauveur…”
Un autre homme rêve aussi de victoire : Jan-Kristian Waaler, l'entraîneur de Papagayo E. Ce dernier, champion du Monde 2015, est dorénavant revenu au mieux pour son objectif déclaré depuis des semaines.
Réservée aux 3 ans jusqu'à l'an passé, cette épreuve (2.100 m., autostart) est dédiée à celui que Jos Verbeeck (présent dimanche sur l'hippodrome) considère comme l'un des plus grands drivers qu'il a rencontrés : Ulf Thoresen. Le public fera communion avec feu l'idole, sorte de “Jimi Hendrix du trot” et fierté nationale, à l'heure des récompenses. Ake Lindblom espère bien être celui qui brandira le trophée : “Les “Souloy” ne sont pas là. Örjan (Kihlström) non plus. C'est notre jour avec Sauveur…”
Un autre homme rêve aussi de victoire : Jan-Kristian Waaler, l'entraîneur de Papagayo E. Ce dernier, champion du Monde 2015, est dorénavant revenu au mieux pour son objectif déclaré depuis des semaines.