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Le meeting de Karukera, l'hippodrome de la Guadeloupe, sur la Grande Terre, à un quart de d'heure de Pointe à Pitre, bat son plein au rythme actuellement d'environ une réunion par mois, avec un public fidèle et des programmes attractifs y compris des animations, folkloriques le plus souvent.
Il s'agit exclusivement de courses au galop avec des chevaux entraînés sur l'île en majorité et une piste en herbe de bonne qualité. Techniquement l'installation de boîtes de départ depuis l'an dernier constitue une amélioration appréciée pour la régularité des compétitions. Mais le président André Giaccoby-Kaoly (personnalité de qualité, professeur de Lettres dans le “civil”) voudrait aller plus loin dans le développement de l'activité hippique et plus précisément la possibilité d'organiser des courses au trot comme à la Martinique.
Ces épreuves envisagées, à raison de deux courses par après-midi, répondraient à la demande des turfistes qui aiment bien cette spécialité et elles sont inscrites, depuis quelques années déjà chez le voisin des Caraïbes. L'émulation entre les deux îles n'en serait que renforcée. La société mère, le Cheval Français, n'est pas contre estimant qu'il s'agira le cas échéant d'un débouché commercial éventuel pour les trotteurs “made in France”. Les vocations de propriétaires pourraient ainsi être concrétisées, d'autant plus qu'il y a sur le marché de nombreux chevaux d'âge à vendre.
Cette hypothèse de travail s'est traduite récemment. Guillaume Maupas, directeur technique de la société mère, nous l'a confirmé, par une visite de deux émissaires qualifiés de la Métropole : Christian Bazire, président du Syndicat des Entraîneurs, et Emmanuelle Morvillers, en charge du bureau de l'International de la SECF.
L'étude va être poursuivie aussi bien rue d'Astorg au siège que sur le terrain de Karukera. La principale difficulté consistant à l'exportation temporaire ou définitive des chevaux et de leurs drivers mais là encore on explique que les expériences de ce genre… à la Martinique ont été concluantes et qu'il existe autant de possibilités de concrétisation ici et là.
Selon l'expression consacrée : Affaire à suivre… et suivie notamment par la rédaction de la tribune hippique d'un côté et de l'autre de l'Atlantique.
Il s'agit exclusivement de courses au galop avec des chevaux entraînés sur l'île en majorité et une piste en herbe de bonne qualité. Techniquement l'installation de boîtes de départ depuis l'an dernier constitue une amélioration appréciée pour la régularité des compétitions. Mais le président André Giaccoby-Kaoly (personnalité de qualité, professeur de Lettres dans le “civil”) voudrait aller plus loin dans le développement de l'activité hippique et plus précisément la possibilité d'organiser des courses au trot comme à la Martinique.
Ces épreuves envisagées, à raison de deux courses par après-midi, répondraient à la demande des turfistes qui aiment bien cette spécialité et elles sont inscrites, depuis quelques années déjà chez le voisin des Caraïbes. L'émulation entre les deux îles n'en serait que renforcée. La société mère, le Cheval Français, n'est pas contre estimant qu'il s'agira le cas échéant d'un débouché commercial éventuel pour les trotteurs “made in France”. Les vocations de propriétaires pourraient ainsi être concrétisées, d'autant plus qu'il y a sur le marché de nombreux chevaux d'âge à vendre.
Cette hypothèse de travail s'est traduite récemment. Guillaume Maupas, directeur technique de la société mère, nous l'a confirmé, par une visite de deux émissaires qualifiés de la Métropole : Christian Bazire, président du Syndicat des Entraîneurs, et Emmanuelle Morvillers, en charge du bureau de l'International de la SECF.
L'étude va être poursuivie aussi bien rue d'Astorg au siège que sur le terrain de Karukera. La principale difficulté consistant à l'exportation temporaire ou définitive des chevaux et de leurs drivers mais là encore on explique que les expériences de ce genre… à la Martinique ont été concluantes et qu'il existe autant de possibilités de concrétisation ici et là.
Selon l'expression consacrée : Affaire à suivre… et suivie notamment par la rédaction de la tribune hippique d'un côté et de l'autre de l'Atlantique.
