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+ Les plus du Report
Selon nos informations, le Report+ du PMU (possibilité de mixer jeux simples, couplés, et 2sur4) commencerait à trouver son public. Ainsi les enjeux auraient-ils progressé de 40 %, comparé au report traditionnel (période comparable).
+ L'année record de Guillaume Macaire
Guillaume Macaire est incontestablement le numéro 1 de sa profession et sa saison 2016 est là pour le prouver. Alors que l'année n'est pas terminée, il est en train de battre plusieurs records : celui du nombre de succès à Auteuil (soixante actuellement), de groupes épinglés (dix-huit) et de gains (plus de 7,5 millions d'euros de gains !). Chapeau bas...
+ Priorité aux courses françaises
Ne voyez pas avec ce titre un relent nationaliste, car les turfistes, comme nous, apprécient de pouvoir suivre sur Equidia les plus belles courses du monde. Mais la décision de France Galop de privilégier les courses disputées sur les hippodromes français dotés d'éclairage au détriment des épreuves loteries sud-américaines est une mesure de bon sens qu'il convient de saluer. Dans le même temps, le Trot a décidé de ne plus concurrencer par un autre programme ses nocturnes du mardi soir. On applaudit aussi.
- Auteuil mérite mieux
Le 13 novembre, à Auteuil, avait lieu une réunion d'un standing tout à fait correct qui n'a pas attiré beaucoup de monde sur la butte Mortemart. L'obstacle semble aujourd'hui être mis sur une voie de garage (absence des EpiqE Series, courses exilées d'Enghien à Compiègne, soit à 60 km plus au nord de la capitale, et l'hippodrome d'Auteuil faisant bientôt office d'antiquité, etc.). Si cette discipline doit avoir encore de l'avenir dans les courses, il est important d'investir a minima dans le temple de l'obstacle.
- Un manque de cohésion entre le trot et le galop
Politique tarifaire différente pour les droits d'entrée, vidéos en accès libre pour le trot et payantes (pour le parieur lambda) pour le galop, suppression de courses mettant parfois à bas mixité des disciplines sur certains champs de courses (dont le succès a été souvent plébiscité par le public), etc. : on ne peut pas dire que les sociétés mères fonctionnent en osmose. Une mention s'impose : elles doivent impérativement se ressaisir en 2017 !
Selon nos informations, le Report+ du PMU (possibilité de mixer jeux simples, couplés, et 2sur4) commencerait à trouver son public. Ainsi les enjeux auraient-ils progressé de 40 %, comparé au report traditionnel (période comparable).
+ L'année record de Guillaume Macaire
Guillaume Macaire est incontestablement le numéro 1 de sa profession et sa saison 2016 est là pour le prouver. Alors que l'année n'est pas terminée, il est en train de battre plusieurs records : celui du nombre de succès à Auteuil (soixante actuellement), de groupes épinglés (dix-huit) et de gains (plus de 7,5 millions d'euros de gains !). Chapeau bas...
+ Priorité aux courses françaises
Ne voyez pas avec ce titre un relent nationaliste, car les turfistes, comme nous, apprécient de pouvoir suivre sur Equidia les plus belles courses du monde. Mais la décision de France Galop de privilégier les courses disputées sur les hippodromes français dotés d'éclairage au détriment des épreuves loteries sud-américaines est une mesure de bon sens qu'il convient de saluer. Dans le même temps, le Trot a décidé de ne plus concurrencer par un autre programme ses nocturnes du mardi soir. On applaudit aussi.
- Auteuil mérite mieux
Le 13 novembre, à Auteuil, avait lieu une réunion d'un standing tout à fait correct qui n'a pas attiré beaucoup de monde sur la butte Mortemart. L'obstacle semble aujourd'hui être mis sur une voie de garage (absence des EpiqE Series, courses exilées d'Enghien à Compiègne, soit à 60 km plus au nord de la capitale, et l'hippodrome d'Auteuil faisant bientôt office d'antiquité, etc.). Si cette discipline doit avoir encore de l'avenir dans les courses, il est important d'investir a minima dans le temple de l'obstacle.
- Un manque de cohésion entre le trot et le galop
Politique tarifaire différente pour les droits d'entrée, vidéos en accès libre pour le trot et payantes (pour le parieur lambda) pour le galop, suppression de courses mettant parfois à bas mixité des disciplines sur certains champs de courses (dont le succès a été souvent plébiscité par le public), etc. : on ne peut pas dire que les sociétés mères fonctionnent en osmose. Une mention s'impose : elles doivent impérativement se ressaisir en 2017 !
