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Retenu par une intervention sur un trotteur blessé, dans l’épreuve précédente, le vétérinaire de service n’est pas en mesure de procéder au contrôle d’identification d’après course. C’est un adjoint, qui tardivement le suppléé. Jean-Paul Gauvin, arrivé 3e avec Condor Julry, ne supporte plus cette attente : « Je suis parti, car il est inadmissible de devoir attendre un quart heure dans les balances pour faire contrôler nos chevaux. Mon cheval n'avait pas de couverture. On se moque de nous et je ne le supporte pas ! ».
Un commissaire qui officiait à Marseille-Vivaux ce lundi a déclaré à notre journaliste Damien Cazé : "Jean-Paul Gauvin n'aurait pas dû partir. Les professionnels ont un délai de vingt minutes à attendre pour un contrôle d'identité de leurs chevaux. Le réglement interdit de contrôler un cheval hors de l'enceinte des balances. Il est parti, c'est tant pis pour lui, le cheval a logiquement été disqualifié, d'autant plus que les six autres chevaux ayant pris des allocations ont été contrôlés sans problème, puisque leur entourage a patienté."
Moralité, par un manque de coordination, c’est le professionnel et les parieurs qui trinquent !
Un commissaire qui officiait à Marseille-Vivaux ce lundi a déclaré à notre journaliste Damien Cazé : "Jean-Paul Gauvin n'aurait pas dû partir. Les professionnels ont un délai de vingt minutes à attendre pour un contrôle d'identité de leurs chevaux. Le réglement interdit de contrôler un cheval hors de l'enceinte des balances. Il est parti, c'est tant pis pour lui, le cheval a logiquement été disqualifié, d'autant plus que les six autres chevaux ayant pris des allocations ont été contrôlés sans problème, puisque leur entourage a patienté."
Moralité, par un manque de coordination, c’est le professionnel et les parieurs qui trinquent !
