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En 2017, quelques aménagements seront apportés au Grand National du Trot-Paris-Turf, réservé aux professionnels : une priorité de participation sera donnée à chaque vainqueur d'étape et les points seront doublés lors de la finale.
À l'inverse, les deux principaux circuits réservés aux drivers amateurs, le GNA et le Trophée Vert, seront reconduits à l'identique par rapport à 2016. “Le comité étudiera pour 2018 un alignement ou non”, commente Pascal Boey, le président de l'UNAT (Union Nationale des Amateurs du Trot) dont le nombre d'adhérents est stable avec 855 cotisants en 2016.
Au cours de cette assemblée, plusieurs personnes, dont Claude-Jean Morin et Christophe Bougon, soulignent la difficulté de pouvoir courir à Vincennes durant le meeting d'hiver, principalement en raison des conditions de courses jugées trop élevées. “Ce sont des courses de pros déguisées en amateurs !”, pense le premier nommé. Le second nommé ajoute : “Les propriétaires-amateurs n'ont pas de chevaux ayant les gains requis pour participer. Le mien, qui a 55.000 euros de gains, a été éliminé quatre fois cet hiver. Je suggère de réfléchir sur un nouveau système de priorité pour éviter que certains concurrents soient systématiquement éliminés.”
Lors de cette réunion, d'autres sujets sont bien entendu abordés : les contrôles de la MSA dans les centres d'entraînement dans le cadre de la lutte contre le travail au noir, les allocations à Cagnes-sur-Mer (plus élevées que sur certains pôles régionaux), les contrats d'assurance, ou le nombre de partants maximum (16 à Laval, pourquoi pas 18 ?). Sans oublier la TVA...
À l'inverse, les deux principaux circuits réservés aux drivers amateurs, le GNA et le Trophée Vert, seront reconduits à l'identique par rapport à 2016. “Le comité étudiera pour 2018 un alignement ou non”, commente Pascal Boey, le président de l'UNAT (Union Nationale des Amateurs du Trot) dont le nombre d'adhérents est stable avec 855 cotisants en 2016.
Au cours de cette assemblée, plusieurs personnes, dont Claude-Jean Morin et Christophe Bougon, soulignent la difficulté de pouvoir courir à Vincennes durant le meeting d'hiver, principalement en raison des conditions de courses jugées trop élevées. “Ce sont des courses de pros déguisées en amateurs !”, pense le premier nommé. Le second nommé ajoute : “Les propriétaires-amateurs n'ont pas de chevaux ayant les gains requis pour participer. Le mien, qui a 55.000 euros de gains, a été éliminé quatre fois cet hiver. Je suggère de réfléchir sur un nouveau système de priorité pour éviter que certains concurrents soient systématiquement éliminés.”
Lors de cette réunion, d'autres sujets sont bien entendu abordés : les contrôles de la MSA dans les centres d'entraînement dans le cadre de la lutte contre le travail au noir, les allocations à Cagnes-sur-Mer (plus élevées que sur certains pôles régionaux), les contrats d'assurance, ou le nombre de partants maximum (16 à Laval, pourquoi pas 18 ?). Sans oublier la TVA...
