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Faut-il faire confiance au concurrent le plus joué ?
Le préféré des parieurs n'a plus gagné depuis 2009 (Sea The Stars) et sa réussite dans le tiercé est de 50 %. En revanche, il apparaît comme une base plus solide au quarté (70 %) et au quinté (80 %). En comparaison, le cheval le plus riche au départ obtient une réussite de 70 % dans les cinq premiers alors que celui qui vient de partir avec la plus petite cote a terminé à l'arrivée lors des dix dernières éditions et affiche 80 % dans le tiercé.
• Quelle réussite pour les différents Derbies ?
Pour retrouver un vainqueur du Prix du Jockey-Club réaliser le doublé avec le Prix de l'Arc de Triomphe, il faut remonter à Dalakhani en 2003. Sur les dix dernières années, sa réussite dans les cinq premiers est de 50 % dans les cinq premiers. Brametot va tenter de faire mentir ces chiffres. Ce n'est guère mieux pour le lauréat de l'Irish Derby (Capri) qui affiche un modeste 17 % dans le quinté.
• Quel crédit accorder aux préparatoires françaises ?
En verve par le passé, le Prix Niel ne sera pas représenté cette année, tout comme le Prix Vermeille. En revanche, le vainqueur du Prix Foy (Dschingis Secret) affiche un score de 29 %, soit légèrement mieux que son dauphin (Cloth of Stars) qui plafonne à 22 %.
• Quelles sont les autres courses références outre-Manche ?
Le vainqueur des King George VI and Queen Elizabeth Stakes (Enable), tout comme les placés des Prince Of Wales's Stakes (Ulysses), n'effectuent pas le déplacement pour rien avec un score de 80 % dans le quarté.
• Quelles autres courses méritent d'être suivies ?
Le seul cheval à s'être imposé dans le Grosser Dallmayr Preis à Munich et a avoir disputé le Prix de l'Arc de Triomphe a terminé à l'arrivée. Attention à Iquitos. Le deuxième du Grand Prix de Deauville (Doha Dream) est un placé potentiel avec un score de 67 % dans les cinq premiers.
Le préféré des parieurs n'a plus gagné depuis 2009 (Sea The Stars) et sa réussite dans le tiercé est de 50 %. En revanche, il apparaît comme une base plus solide au quarté (70 %) et au quinté (80 %). En comparaison, le cheval le plus riche au départ obtient une réussite de 70 % dans les cinq premiers alors que celui qui vient de partir avec la plus petite cote a terminé à l'arrivée lors des dix dernières éditions et affiche 80 % dans le tiercé.
• Quelle réussite pour les différents Derbies ?
Pour retrouver un vainqueur du Prix du Jockey-Club réaliser le doublé avec le Prix de l'Arc de Triomphe, il faut remonter à Dalakhani en 2003. Sur les dix dernières années, sa réussite dans les cinq premiers est de 50 % dans les cinq premiers. Brametot va tenter de faire mentir ces chiffres. Ce n'est guère mieux pour le lauréat de l'Irish Derby (Capri) qui affiche un modeste 17 % dans le quinté.
• Quel crédit accorder aux préparatoires françaises ?
En verve par le passé, le Prix Niel ne sera pas représenté cette année, tout comme le Prix Vermeille. En revanche, le vainqueur du Prix Foy (Dschingis Secret) affiche un score de 29 %, soit légèrement mieux que son dauphin (Cloth of Stars) qui plafonne à 22 %.
• Quelles sont les autres courses références outre-Manche ?
Le vainqueur des King George VI and Queen Elizabeth Stakes (Enable), tout comme les placés des Prince Of Wales's Stakes (Ulysses), n'effectuent pas le déplacement pour rien avec un score de 80 % dans le quarté.
• Quelles autres courses méritent d'être suivies ?
Le seul cheval à s'être imposé dans le Grosser Dallmayr Preis à Munich et a avoir disputé le Prix de l'Arc de Triomphe a terminé à l'arrivée. Attention à Iquitos. Le deuxième du Grand Prix de Deauville (Doha Dream) est un placé potentiel avec un score de 67 % dans les cinq premiers.
