Accueil
L'année écoulée marque une rupture après plusieurs saisons de déclin. Les feux sont désormais au “vert” dans pratiquement tous les secteurs du PMU…
+ 2 %. Soit la hausse des enjeux hippiques en 2017 au PMU après une baisse continue depuis 2012. “C'est un vrai retour à la croissance, affirme le directeur général délégué du PMU, Alain Resplandy-Bernard. Nous sommes convaincus, grâce au Plan PMU 2020.1 concentré à 85 % sur le pari hippique en France, de disposer de tous les atouts pour créer la relance. Le choix dans un premier temps a été fait de réaliser du “volume” en chiffre d'affaires - d'où le lancement de Simple Jackpot -, et ensuite viendra le temps de la marge nette.”
D'où un produit brut des jeux en baisse de 0,4 % avec un taux de retour joueurs global de 73,8 % (contre 73,2 % en 2016). Notre interlocuteur poursuit : “Hormis les points de vente (- 0,8 %), tous les segments du pari hippique sont en hausse. Sans les quatre annulations record de Quinté+ en 2017, les enjeux dans le réseau auraient été quasi stables. Fin 2018, les chiffres seront aussi positifs sur ce vecteur. La bonne nouvelle est la croissance sur les hippodromes parisiens, personne n'y croyait et pourtant !”
Pmu.fr hippique termine l'année à +7,3 %, dynamisé par le programme de fidélité et le e-Simple Jackpot. 2017 marque aussi le dépassement des enjeux enregistrés par SMS (90 millions d'euros) par rapport à Allo Pari. Côté international, Alain Resplandy-Bernard se réjouit de la hausse : “+ 10 %, c'est un bon résultat. Chaque pays gagné contribue à élargir notre base et à être moins impacté par les crises éventuelles des pays en masses communes.” Tout en sachant que la part des mises des grands parieurs internationaux (GPI) est très importante dans les enjeux enregistrés à l'étranger.
Les paris sportifs terminent 2017 en baisse significative de 6,5 %, le PDG par intérim du PMU déclarant : “Je sais que le sujet est sensible notamment vis-à-vis de nos actionnaires, cependant nous avons une conviction forte : la bataille de recrutement des parieurs hippiques de demain se fait via le pari sportif. Précisons tout de même que le PMU n'est pas très agressif en investissant des sommes folles. Nous pilotons les charges, comme le démontre le PBJ positif. Avec la Coupe du Monde de football, 2018 sera une année de recrutement.” Quatrième opérateur dans le sport, le PMU tient bien sa partie dans le poker (3e position).
+ 2 %. Soit la hausse des enjeux hippiques en 2017 au PMU après une baisse continue depuis 2012. “C'est un vrai retour à la croissance, affirme le directeur général délégué du PMU, Alain Resplandy-Bernard. Nous sommes convaincus, grâce au Plan PMU 2020.1 concentré à 85 % sur le pari hippique en France, de disposer de tous les atouts pour créer la relance. Le choix dans un premier temps a été fait de réaliser du “volume” en chiffre d'affaires - d'où le lancement de Simple Jackpot -, et ensuite viendra le temps de la marge nette.”
D'où un produit brut des jeux en baisse de 0,4 % avec un taux de retour joueurs global de 73,8 % (contre 73,2 % en 2016). Notre interlocuteur poursuit : “Hormis les points de vente (- 0,8 %), tous les segments du pari hippique sont en hausse. Sans les quatre annulations record de Quinté+ en 2017, les enjeux dans le réseau auraient été quasi stables. Fin 2018, les chiffres seront aussi positifs sur ce vecteur. La bonne nouvelle est la croissance sur les hippodromes parisiens, personne n'y croyait et pourtant !”
Pmu.fr hippique termine l'année à +7,3 %, dynamisé par le programme de fidélité et le e-Simple Jackpot. 2017 marque aussi le dépassement des enjeux enregistrés par SMS (90 millions d'euros) par rapport à Allo Pari. Côté international, Alain Resplandy-Bernard se réjouit de la hausse : “+ 10 %, c'est un bon résultat. Chaque pays gagné contribue à élargir notre base et à être moins impacté par les crises éventuelles des pays en masses communes.” Tout en sachant que la part des mises des grands parieurs internationaux (GPI) est très importante dans les enjeux enregistrés à l'étranger.
Les paris sportifs terminent 2017 en baisse significative de 6,5 %, le PDG par intérim du PMU déclarant : “Je sais que le sujet est sensible notamment vis-à-vis de nos actionnaires, cependant nous avons une conviction forte : la bataille de recrutement des parieurs hippiques de demain se fait via le pari sportif. Précisons tout de même que le PMU n'est pas très agressif en investissant des sommes folles. Nous pilotons les charges, comme le démontre le PBJ positif. Avec la Coupe du Monde de football, 2018 sera une année de recrutement.” Quatrième opérateur dans le sport, le PMU tient bien sa partie dans le poker (3e position).
