C'est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition de Jean-François Maury à l'âge de 70 ans.
Toute sa région du Sud-Ouest, où il était unanimement apprécié, est en deuil, tout comme ses nombreux amis des quatre coins de l'Hexagone. Il savait transmettre sa bonne humeur et sa joie de vivre, en étant toujours positif. Les trotteurs étaient sa grande passion. Durant de très nombreuses années, il a fait partie des plus fines cravaches dans le rang des amateurs. D'ailleurs, il a été sacré champion de France à plusieurs reprises.
Gagnant de près de trois cents courses, il s'est imposé sur toutes les pistes du Sud-Ouest, de nombreuses fois, tout comme à Cagnes-sur-Mer et à Vincennes. Il a drivé pour de grands entraîneurs, porté des casaques célèbres comme celles d'Alec Weisweiller, de Daniel Wildenstein, d'Henri Levesque, de la marquise de Moratalla, de Jan Kruithof, de Bernard Desmontils, d'Alain Laurent, de Richard Denéchère et de l'un de ses compagnons de fête, Maurice de Folleville. Pour Michel Charlot, il s'est imposé à vingt-huit reprises et pour son ami de toujours, Gilbert (“Gil”) Lemière pas moins de soixante fois. “C'était comme un frère pour moi, a confié avec peine ce dernier. Nous nous sommes connus en 1968. Il aimait les chevaux et venait en travailler à la maison. Il avait commencé à driver alors que j'étais chez la famille Sartrand.” Fervent supporter de l'écurie de Christophe Feyte, le gendre de “Gil” Lemière, il s'était encore déplacé en début de meeting à Vincennes.
La cérémonie religieuse sera célébrée en l'église de Monpazier (24) le mercredi 7 février à 10 h 30.
Cet avis tient lieu de faire part.
À sa famille, “Paris-Turf” présente ses plus sincères condoléances.
Toute sa région du Sud-Ouest, où il était unanimement apprécié, est en deuil, tout comme ses nombreux amis des quatre coins de l'Hexagone. Il savait transmettre sa bonne humeur et sa joie de vivre, en étant toujours positif. Les trotteurs étaient sa grande passion. Durant de très nombreuses années, il a fait partie des plus fines cravaches dans le rang des amateurs. D'ailleurs, il a été sacré champion de France à plusieurs reprises.
Gagnant de près de trois cents courses, il s'est imposé sur toutes les pistes du Sud-Ouest, de nombreuses fois, tout comme à Cagnes-sur-Mer et à Vincennes. Il a drivé pour de grands entraîneurs, porté des casaques célèbres comme celles d'Alec Weisweiller, de Daniel Wildenstein, d'Henri Levesque, de la marquise de Moratalla, de Jan Kruithof, de Bernard Desmontils, d'Alain Laurent, de Richard Denéchère et de l'un de ses compagnons de fête, Maurice de Folleville. Pour Michel Charlot, il s'est imposé à vingt-huit reprises et pour son ami de toujours, Gilbert (“Gil”) Lemière pas moins de soixante fois. “C'était comme un frère pour moi, a confié avec peine ce dernier. Nous nous sommes connus en 1968. Il aimait les chevaux et venait en travailler à la maison. Il avait commencé à driver alors que j'étais chez la famille Sartrand.” Fervent supporter de l'écurie de Christophe Feyte, le gendre de “Gil” Lemière, il s'était encore déplacé en début de meeting à Vincennes.
La cérémonie religieuse sera célébrée en l'église de Monpazier (24) le mercredi 7 février à 10 h 30.
Cet avis tient lieu de faire part.
À sa famille, “Paris-Turf” présente ses plus sincères condoléances.