> 100 % de réussite. En cette fin de meeting, les partants se font tirer par l’oreille. Ainsi, David Cottin n’a eu qu’un représentant en piste, Easysland, qui impose sa loi dans le Prix de Lastours après avoir joué de malchance le jour de ses débuts (chute à la deuxième haie). Pour l’occasion, il était monté par Kévin Nabet qui n’a eu, lui-même, qu’une monte dans l’après-midi.
> Maiden. Chez les poulains, Stonebridge,sous la poigne de Delphine Santiago, ouvre son palmarès dans le Prix de Nay. Il attend au sein du peloton et vient dominer pour finir Living State et Chocolat Day. Chez les pouliches, dans le Prix de Coarraze, Give Me The Best se retrouve aux prises dans les cent derniers mètres avec Shadan et se montre la plus forte dans les dernières foulées. Mais la meilleure note sera nettement pour Dafia, une inédite très bien née qui a donné un excellent coup de reins dans la ligne droite.
> Arabes purs. Les chevaux de cette race avaient deux courses à se partager. La première, le Prix du Haras de Gelos revient à Al Walid, qui permet à Thomas Fourcy de se mettre en valeur. Dans la seconde, le Prix Magicienne, l’inédit Saleh dispose très facilement de ses rivaux dans la phase finale pour le plus grand plaisir de François Rohaut, son mentor, et François-Xavier Bertras, son jockey. Djelilla,qui prend la deuxième place, efface ses débuts modestes en montrant son vrai visage cette fois.
> Maiden. Chez les poulains, Stonebridge,sous la poigne de Delphine Santiago, ouvre son palmarès dans le Prix de Nay. Il attend au sein du peloton et vient dominer pour finir Living State et Chocolat Day. Chez les pouliches, dans le Prix de Coarraze, Give Me The Best se retrouve aux prises dans les cent derniers mètres avec Shadan et se montre la plus forte dans les dernières foulées. Mais la meilleure note sera nettement pour Dafia, une inédite très bien née qui a donné un excellent coup de reins dans la ligne droite.
> Arabes purs. Les chevaux de cette race avaient deux courses à se partager. La première, le Prix du Haras de Gelos revient à Al Walid, qui permet à Thomas Fourcy de se mettre en valeur. Dans la seconde, le Prix Magicienne, l’inédit Saleh dispose très facilement de ses rivaux dans la phase finale pour le plus grand plaisir de François Rohaut, son mentor, et François-Xavier Bertras, son jockey. Djelilla,qui prend la deuxième place, efface ses débuts modestes en montrant son vrai visage cette fois.