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Favorisant, depuis dix ans, les chevaux expérimentés, le Prix Jules Roucayrol (2.925 mètres) marquera t-il un revirement de situation avec la présence, entre autres, des 6 ans Caly Loulou et Cirrus Atout ?
“Dallas, ton univers impitoyable...” Qui n’a jamais fredonné les paroles de l’une des plus célèbres séries américaines ? Sous son soleil implacable, Cagnes glorifie (aussi) la loi du plus fort. Sur la piste, chaque fois qu’un cheval (au trot, au galop ou en obstacle) franchit le poteau en tête. Hippodrome pluridisciplinaire aux multiples facettes, la SCCA (Société des Courses de la Côte d’Azur) est co-gérée depuis plus d’un demi-siècle par un membre de la famille Roucayrol. Jadis Jules (dont la course de vendredi porte le nom) avant Robert, Alexandre, et maintenant Thomas, directeur de l’institution azuréenne. Sous les initiales de J.R, celle qui font référence au personnage principal du feuilleton “made in USA” le plus connu du tube cathodique, Jules Roucayrol a su, au début des années 60, donner l’impulsion nécessaire pour faire de l’hippodrome cagnois un haut-lieu d’hippisme. Encore labelisé groupe III l’an passé, le Prix Jules Roucayrol (2.925 mètres) fait, depuis dix ans, quasi-systématiquement la part belle aux trotteurs d’age, de Rocky Winner (9 ans) l’an dernier, à Sud, Roller Quick et Pluto du Vivier (10 ans) en 2016, 2015 et 2013, seul Querios du Mirel donnant raison à un 6 ans, en 2010. Bien engagés au premier échelon, Caly Loulou et Cirrus Atout inverseront-ils cette tendance ? “Au papier, la jument dispose d’une très belle chance théorique, confirme Matthieu Abrivard, driver de la première nommé, lequel s’attend “à un très bon comportement” d’une compétitrice “à l’aise piste plate.” Malchanceuse dans le Prix de la Côte d’Azur, épreuve dans laquelle Beau Gamin, “qui apprécie lorsqu’il y a du rythme dans les courses auxquelles il participe”, dixit David Békaert, s’est très bien comporté en rendant (déjà) vingt-cinq mètres, Brune des Forges comptera de nombreux partisans, “d’autant qu’elle est restée bien à l’entraînement”, confie Nicolas Ensch. En l’absence de Brissac, ces quatre-là auront la cote, comme Vulcain de Vandel, Uranium ou encore Ultimo du Douet.
“Dallas, ton univers impitoyable...” Qui n’a jamais fredonné les paroles de l’une des plus célèbres séries américaines ? Sous son soleil implacable, Cagnes glorifie (aussi) la loi du plus fort. Sur la piste, chaque fois qu’un cheval (au trot, au galop ou en obstacle) franchit le poteau en tête. Hippodrome pluridisciplinaire aux multiples facettes, la SCCA (Société des Courses de la Côte d’Azur) est co-gérée depuis plus d’un demi-siècle par un membre de la famille Roucayrol. Jadis Jules (dont la course de vendredi porte le nom) avant Robert, Alexandre, et maintenant Thomas, directeur de l’institution azuréenne. Sous les initiales de J.R, celle qui font référence au personnage principal du feuilleton “made in USA” le plus connu du tube cathodique, Jules Roucayrol a su, au début des années 60, donner l’impulsion nécessaire pour faire de l’hippodrome cagnois un haut-lieu d’hippisme. Encore labelisé groupe III l’an passé, le Prix Jules Roucayrol (2.925 mètres) fait, depuis dix ans, quasi-systématiquement la part belle aux trotteurs d’age, de Rocky Winner (9 ans) l’an dernier, à Sud, Roller Quick et Pluto du Vivier (10 ans) en 2016, 2015 et 2013, seul Querios du Mirel donnant raison à un 6 ans, en 2010. Bien engagés au premier échelon, Caly Loulou et Cirrus Atout inverseront-ils cette tendance ? “Au papier, la jument dispose d’une très belle chance théorique, confirme Matthieu Abrivard, driver de la première nommé, lequel s’attend “à un très bon comportement” d’une compétitrice “à l’aise piste plate.” Malchanceuse dans le Prix de la Côte d’Azur, épreuve dans laquelle Beau Gamin, “qui apprécie lorsqu’il y a du rythme dans les courses auxquelles il participe”, dixit David Békaert, s’est très bien comporté en rendant (déjà) vingt-cinq mètres, Brune des Forges comptera de nombreux partisans, “d’autant qu’elle est restée bien à l’entraînement”, confie Nicolas Ensch. En l’absence de Brissac, ces quatre-là auront la cote, comme Vulcain de Vandel, Uranium ou encore Ultimo du Douet.
