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Certes encore un peu bébé, Spotify vient de faire une rentrée pleine de promesses, en battant à la lutte le bon Best Fouad, ici, à l'occasion de la préparatoire à ce Grand Prix. Dimanche, tous les regards seront tournés vers le pensionnaire de Christophe Ferland.
Inutile d'étaler son jeune palmarès, Spotify, qui a entre autres conclu quatrième de la Poule d'Essai des Poulains, l'an dernier, a prouvé lors de sa rentrée sur cette piste, qu'il était doué et prêt à réaliser une belle saison 2018. Une belle campagne qui peut démarrer dimanche, à l'occasion du Grand Prix de la Riviera Côte d'Azur (listed), son objectif de l'hiver. Sur ce que l'on a vu il y a trois semaines, il va falloir être fort pour le titiller. La dernière fois, son jockey, Maxime Guyon, a monté une vraie course ; il n'a pas eu “peur” de prendre le train à son compte, personne ne voulant manifestement le faire. Pour finir, il a dû batailler ferme avec l'excellent Best Fouad, un adversaire plus expérimenté qui, certes, n'était pas à 100 % mais dont le talent aurait pu suffire pour vaincre. “Il a bien gagné pour sa rentrée, analyse son entraîneur, Christophe Ferland. Son jockey le connaît bien ; il a contrôlé la course. Il est logiquement monté physiquement là-dessus. Je ne vous cache pas que cette course est son objectif de l'hiver. Il n'y a pas trop de nouveaux venus dans cette course. Il a déjà du caractère gras et le but est qu'il devienne super black type.”
Dans le Prix du Docteur Gazagnaire, le troisième larron se nomme Plutocracy, dont la performance est presque passée inaperçue, au grand dam de son entourage… Mais le pensionnaire du sympathique Andrew Hollinshead a terminé à la hanche des deux premiers. “C'est un cheval que j'aime bien. Son propriétaire voulait le courir à réclamer mais je pense qu'il vaut mieux que cela, explique son mentor cantilien. La dernière fois, il nous a surpris mais il a du potentiel.”
Le lyonnais Pump Pump Palace, qui l'an dernier avait suivi la filière du Grand Prix, sur le gazon, vient de faire une bonne rentrée sur le sable. Il ne se déplace pas sans ambitions, comme Tree of Grace, de retour quant à lui sur la PSF.
Inutile d'étaler son jeune palmarès, Spotify, qui a entre autres conclu quatrième de la Poule d'Essai des Poulains, l'an dernier, a prouvé lors de sa rentrée sur cette piste, qu'il était doué et prêt à réaliser une belle saison 2018. Une belle campagne qui peut démarrer dimanche, à l'occasion du Grand Prix de la Riviera Côte d'Azur (listed), son objectif de l'hiver. Sur ce que l'on a vu il y a trois semaines, il va falloir être fort pour le titiller. La dernière fois, son jockey, Maxime Guyon, a monté une vraie course ; il n'a pas eu “peur” de prendre le train à son compte, personne ne voulant manifestement le faire. Pour finir, il a dû batailler ferme avec l'excellent Best Fouad, un adversaire plus expérimenté qui, certes, n'était pas à 100 % mais dont le talent aurait pu suffire pour vaincre. “Il a bien gagné pour sa rentrée, analyse son entraîneur, Christophe Ferland. Son jockey le connaît bien ; il a contrôlé la course. Il est logiquement monté physiquement là-dessus. Je ne vous cache pas que cette course est son objectif de l'hiver. Il n'y a pas trop de nouveaux venus dans cette course. Il a déjà du caractère gras et le but est qu'il devienne super black type.”
Dans le Prix du Docteur Gazagnaire, le troisième larron se nomme Plutocracy, dont la performance est presque passée inaperçue, au grand dam de son entourage… Mais le pensionnaire du sympathique Andrew Hollinshead a terminé à la hanche des deux premiers. “C'est un cheval que j'aime bien. Son propriétaire voulait le courir à réclamer mais je pense qu'il vaut mieux que cela, explique son mentor cantilien. La dernière fois, il nous a surpris mais il a du potentiel.”
Le lyonnais Pump Pump Palace, qui l'an dernier avait suivi la filière du Grand Prix, sur le gazon, vient de faire une bonne rentrée sur le sable. Il ne se déplace pas sans ambitions, comme Tree of Grace, de retour quant à lui sur la PSF.
