Dominique Boeuf revient sur sa collaboration avec Elie Lellouche.
“Avant tout, je voudrais le féliciter pour sa grande carrière. C’est grâce à lui que j’ai pu monter des chevaux exceptionnels. On avait une vraie complicité. Ce qui est marrant, c’est que nous l’avions davantage quand j’étais à cheval. Là, on se comprenait vraiment. A pied, on avait un peu plus de mal (rires). Parmi les grandes victoires, il y a bien sûr les Prix de Diane d’Aquarelliste et Bright Sky en 2001 et 2002, mais je retiens je retiens surtout le succès de Vallée Enchantée dans le Hong Kong Vase (en 2003). C’était un grand moment... La jument ne payait pas de mine ; c’était une petite crevette (sic) qui faisait à peine 400 kilos. Sur les pistes, le matin, tout le monde se moquait de nous en la voyant. Avec Elie, on rigolait tranquille, car on savait qu’on allait faire un truc. On a vraiment eu de bons moments ensemble. Notamment à l’étranger. Lui ne parlait pas anglais et moi je baragouinais. Dès que quelqu’un me parlait, il me disait “qu’est-ce qu’il t’a dit ?” “Où est-ce qu’on va ?” C’était son truc. Et moi je lui répondais, “mais je n’ai rien compris non plus” (rires). On a eu de sacrées franches rigolades...”
“Avant tout, je voudrais le féliciter pour sa grande carrière. C’est grâce à lui que j’ai pu monter des chevaux exceptionnels. On avait une vraie complicité. Ce qui est marrant, c’est que nous l’avions davantage quand j’étais à cheval. Là, on se comprenait vraiment. A pied, on avait un peu plus de mal (rires). Parmi les grandes victoires, il y a bien sûr les Prix de Diane d’Aquarelliste et Bright Sky en 2001 et 2002, mais je retiens je retiens surtout le succès de Vallée Enchantée dans le Hong Kong Vase (en 2003). C’était un grand moment... La jument ne payait pas de mine ; c’était une petite crevette (sic) qui faisait à peine 400 kilos. Sur les pistes, le matin, tout le monde se moquait de nous en la voyant. Avec Elie, on rigolait tranquille, car on savait qu’on allait faire un truc. On a vraiment eu de bons moments ensemble. Notamment à l’étranger. Lui ne parlait pas anglais et moi je baragouinais. Dès que quelqu’un me parlait, il me disait “qu’est-ce qu’il t’a dit ?” “Où est-ce qu’on va ?” C’était son truc. Et moi je lui répondais, “mais je n’ai rien compris non plus” (rires). On a eu de sacrées franches rigolades...”