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Épilogue du GNT 2018, ce dimanche.
• Un Quinté facile à déchiffrer ?
Seule l'édition 2013 n'a pas servi de support des enjeux nationaux et force est de constater que les rapports ne s'enflamment pas, passant péniblement la barre des 16.000 € en 2014 et 2016, les autres étant sous le seuil des 10.000 €.
À quatre reprises, ils ont été inférieurs à 3.000 €.
• Faut-il faire confiance au plus appuyé à la cote ?
Difficile de se passer de lui puisqu'il affiche 90 % dans les quatre premiers et même 70 % dans le Trio, ayant signé l'an passé sa cinquième victoire en dix ans.
• Quels sont les hommes du GNT ?
Avec un score de 53 %, Jean-Michel Bazire est le plus recommandable chez les entraîneurs, lui qui délègue Colonel, Blé du Gers et Cleangame. En tant que driver, sa réussite grimpe à 78 %. Il est talonné par Anthony Barrier (Baraka de Bellou) avec un score de 75 %. Attention également à Tony Le Beller (Ceylan Dairpet), vainqueur à deux reprises en trois essais.
• Que retenir des deux dernières étapes ?
Le vainqueur de l'étape nantaise (Cleangame) fait mieux que celui de Mauquenchy (Ceylan Dairpet) avec un score de 80 % contre 43 %.
• Y a-t-il d'autres éléments statistiques remarquables ?
Chose étonnante, les chevaux ayant terminé 8e ou 9e à Nantes réussissent à hauteur de 80 % dans le Quinté. Blues des Landiers peut-il confirmer cette tendance ? À noter, enfin, les 70 % dans le Trio obtenus par le concurrent venant de réaliser la meilleure réduction kilométrique (Utile Lebel).
