Accueil
En 2019, au soir du 4 août, Jean-Michel Bazire s'est installé trois cent vingt fois au sulky en compétition contre cinq cent sept à pareille époque l'an dernier.
Jean-Michel Bazire avait une seule obsession en 2018, remporter un vingtième Sulky d'Or. Pour cela, il lui avait fallu sortir le grand jeu pour venir à bout d'un Yoann Lebourgeois, étincelant et très performant, avant d'être stoppé par un accident au Mans le 18 décembre. Après ce nouveau sacre, le Sarthois avait dit à qui voulait l'entendre : “Terminé, terminé, il n'y aura pas de vingt et unième trophée...” Très en verve en début d'année, avec en autre ses succès dans les Prix d'Amérique et de Paris avec la ballerine, Bélina Josselyn, et une seconde partie de meeting tout aussi bonne que la première, on aurait pu croire qu'il allait se prendre au jeu, mais que nenni. “Je prends plus de temps pour l’entraînement de mes chevaux, pour moi et ma femme,Nelsy, reconnaît JMB. Bref, je m’accorde plus le temps de vivre, mais je suis toujours dans la course et toujours à fond. Je prends énormément de plaisir à driver un bon cheval, m’en aller aussitôt et rentrer dans ma cour de bonne heure. Je suis bien et heureux comme ça avec cette qualité de vie. Même si selon son entourage : “Il ne travaille pas moins qu'avant.” Il est vrai qu'il a encore un effectif important mais a-t-il dit : “J’ai deux personnes très solides avec Ludovic Mollard, pour les “vieux” chevaux et mon neveu, Romain Congard aux poulains. Nicolas est encore jeune. Actuellement, j’ai quatre-vingt-cinq chevaux de course. Pour être bien, il en faudrait soixante-quinze. J’espère y arriver au 1er avril l’an prochain. En attendant, comme on le soulignait, il a fortement réduit la voilure au niveau de ses “drives” extérieures, qu'il sélectionne de plus en plus. En juillet, il a mené seulement trente-sept fois pour quatorze victoires alors qu'en 2018, le compteur était de cent deux tentatives pour trente-six succès. À la question de savoir s'il avait préparé le meeting estival de Vincennes, il a répondu du tac au tac : “Pas spécialement ! Je vais mener mes “vieux” chevaux et essayer de les driver comme il le faut.” Comme d'habitude...
Jean-Michel Bazire avait une seule obsession en 2018, remporter un vingtième Sulky d'Or. Pour cela, il lui avait fallu sortir le grand jeu pour venir à bout d'un Yoann Lebourgeois, étincelant et très performant, avant d'être stoppé par un accident au Mans le 18 décembre. Après ce nouveau sacre, le Sarthois avait dit à qui voulait l'entendre : “Terminé, terminé, il n'y aura pas de vingt et unième trophée...” Très en verve en début d'année, avec en autre ses succès dans les Prix d'Amérique et de Paris avec la ballerine, Bélina Josselyn, et une seconde partie de meeting tout aussi bonne que la première, on aurait pu croire qu'il allait se prendre au jeu, mais que nenni. “Je prends plus de temps pour l’entraînement de mes chevaux, pour moi et ma femme,Nelsy, reconnaît JMB. Bref, je m’accorde plus le temps de vivre, mais je suis toujours dans la course et toujours à fond. Je prends énormément de plaisir à driver un bon cheval, m’en aller aussitôt et rentrer dans ma cour de bonne heure. Je suis bien et heureux comme ça avec cette qualité de vie. Même si selon son entourage : “Il ne travaille pas moins qu'avant.” Il est vrai qu'il a encore un effectif important mais a-t-il dit : “J’ai deux personnes très solides avec Ludovic Mollard, pour les “vieux” chevaux et mon neveu, Romain Congard aux poulains. Nicolas est encore jeune. Actuellement, j’ai quatre-vingt-cinq chevaux de course. Pour être bien, il en faudrait soixante-quinze. J’espère y arriver au 1er avril l’an prochain. En attendant, comme on le soulignait, il a fortement réduit la voilure au niveau de ses “drives” extérieures, qu'il sélectionne de plus en plus. En juillet, il a mené seulement trente-sept fois pour quatorze victoires alors qu'en 2018, le compteur était de cent deux tentatives pour trente-six succès. À la question de savoir s'il avait préparé le meeting estival de Vincennes, il a répondu du tac au tac : “Pas spécialement ! Je vais mener mes “vieux” chevaux et essayer de les driver comme il le faut.” Comme d'habitude...
