Le Prix d’Été édition 2019 sert de support pour la finale de l’U.E.T. Trotting Masters. En se calquant sur le même principe que les circuits ATP et WTA au tennis, ce challenge regroupant les meilleures épreuves européennes peine à trouver son intérêt aux yeux du public. Quelle suite à envisager pour tenter de redonner de la visibilité à tout cela ?
38. Voici le nombre de courses comprises dans le circuit de l’U.E.T. Trotting Masters, finale incluse. Vingt-quatre groupes I et quatorze groupes II. Les épreuves se déroulent tout au long de l’année dans 8 pays différents : la France, la Suède, la Finlande, la Norvège, les Pays-Bas, la Belgique, l’Italie et le Danemark. Les chevaux cumulent des points en fonction de leur classement dans les courses. À l’image de ce qu’il se fait au tennis, ces points sont acquis pour une année avant d’être remis en jeu lors des douze mois suivant. À l’issue de la finale, le vainqueur de l’U.E.T. Trotting Masters remporte… un titre purement honorifique ! Pas de récompense financière ni même de trophée. Exception faite pour la course support de la finale, dont l’allocation est portée à 380.000€.
La lisibilité de ce challenge demeure délicate. La preuve, par exemple, avec le règlement de la finale. Pour y participer, les concurrents doivent avoir disputé au moins une étape de l’U.E.T. Trotting Masters au cours des douze derniers mois. Alors qu’il aurait pu courir le Prix d’Été, Anzi des Liards est prié de rester au box. 12 partants au départ de l’édition 2019, une course qui aurait pu servir de support au Quinté+ et faire fructifier les enjeux avec les noms des différents champions au départ : Bold Eagle, Cleangame, Propulsion et du millionnaire estival Bel Avis.
Si pour l’heure, du côté du Trot, aucune piste future n’est avancée, on évoque des discussions avec les partenaires européens pour faire évoluer le programme des courses dans chaque pays, et donc le fonctionnement de ce tournoi.
38. Voici le nombre de courses comprises dans le circuit de l’U.E.T. Trotting Masters, finale incluse. Vingt-quatre groupes I et quatorze groupes II. Les épreuves se déroulent tout au long de l’année dans 8 pays différents : la France, la Suède, la Finlande, la Norvège, les Pays-Bas, la Belgique, l’Italie et le Danemark. Les chevaux cumulent des points en fonction de leur classement dans les courses. À l’image de ce qu’il se fait au tennis, ces points sont acquis pour une année avant d’être remis en jeu lors des douze mois suivant. À l’issue de la finale, le vainqueur de l’U.E.T. Trotting Masters remporte… un titre purement honorifique ! Pas de récompense financière ni même de trophée. Exception faite pour la course support de la finale, dont l’allocation est portée à 380.000€.
La lisibilité de ce challenge demeure délicate. La preuve, par exemple, avec le règlement de la finale. Pour y participer, les concurrents doivent avoir disputé au moins une étape de l’U.E.T. Trotting Masters au cours des douze derniers mois. Alors qu’il aurait pu courir le Prix d’Été, Anzi des Liards est prié de rester au box. 12 partants au départ de l’édition 2019, une course qui aurait pu servir de support au Quinté+ et faire fructifier les enjeux avec les noms des différents champions au départ : Bold Eagle, Cleangame, Propulsion et du millionnaire estival Bel Avis.
Si pour l’heure, du côté du Trot, aucune piste future n’est avancée, on évoque des discussions avec les partenaires européens pour faire évoluer le programme des courses dans chaque pays, et donc le fonctionnement de ce tournoi.