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C'est à l'occasion de l'avant-dernier Comité du Trot (version 2016-2019) qu'a été présenté mardi après-midi, aux 44 membres présents, à Vincennes, le programme du prochain meeting d'hiver, période phare de la saison des courses au trot, en France. Un meeting qui se déroulera du 30 octobre au 29 février 2020, composé de 798 courses, réparties sur 97 réunions, 90 d'entre elles se disputant sur le plateau de Gravelle, 79 le jour, 5 en milieu d'après-midi (le mardi, première course à 16 h 22) et 6 le vendredi soir.
Le programme comprend au total 746 épreuves (533 à l'attelé - 213 sous la selle), soit 4 de moins qu'à l'occasion de l'exercice précédent. Au rayon des nouveautés, la réunion du Grand Prix d'Amérique (26 janvier) comportera - sous réserve de faisabilité - onze courses (trois d'entre elles se disputant avant le défilé des drivers, vers midi) en reproduisant un concept ayant notamment fait ses preuves, en Suède, à l'occasion de la journée de l'Elitlopp, à Solvalla.
La Commission des programmes propose de permettre aux chevaux âgés de 10 ans (V) au début de l'hiver de courir - dans les deux spécialités - jusqu'à la fin du meeting. In fine, cette décision sera étendue jusqu'au 31 mars (inclus) partout dans l'Hexagone. Pas de changement notable concernant les deux temps fort de la saison que sont le Prix de Cornulier (19 janvier) et “l'Amérique”. Désormais rodé, le système de qualification porte ses fruits et sera reconduit. En revanche, des ajustements devraient être apportés à certaines épreuves, le Prix Olry Roederer passant (par exemple) du label groupe II à groupe III et devenant accessible aux hongres.
Recherche d'optimisation oblige (en termes de partants et d'enjeux), 24 courses au trot monté seront supprimées (32 à 28,6 %) et se disputeront dans l'autre spécialité à l'occasion de quatre mois de compétition où auront lieu 11 groupes I, 75 événements (plutôt sur 2.100 mètres - autostart - que sur les 2.175 mètres - départ volté - de la grande piste), 135 courses européennes (102 à l'attelé - 33 sous la selle) et 25 courses internationales. La moyenne globale des allocations sera de 49.094 euros (contre 54.557 euros en 2018/2019) et le Prix de Blois (remporté en 2010 par Punchy) sera rebaptisé Prix Jean Boillereau
Le programme comprend au total 746 épreuves (533 à l'attelé - 213 sous la selle), soit 4 de moins qu'à l'occasion de l'exercice précédent. Au rayon des nouveautés, la réunion du Grand Prix d'Amérique (26 janvier) comportera - sous réserve de faisabilité - onze courses (trois d'entre elles se disputant avant le défilé des drivers, vers midi) en reproduisant un concept ayant notamment fait ses preuves, en Suède, à l'occasion de la journée de l'Elitlopp, à Solvalla.
La Commission des programmes propose de permettre aux chevaux âgés de 10 ans (V) au début de l'hiver de courir - dans les deux spécialités - jusqu'à la fin du meeting. In fine, cette décision sera étendue jusqu'au 31 mars (inclus) partout dans l'Hexagone. Pas de changement notable concernant les deux temps fort de la saison que sont le Prix de Cornulier (19 janvier) et “l'Amérique”. Désormais rodé, le système de qualification porte ses fruits et sera reconduit. En revanche, des ajustements devraient être apportés à certaines épreuves, le Prix Olry Roederer passant (par exemple) du label groupe II à groupe III et devenant accessible aux hongres.
Recherche d'optimisation oblige (en termes de partants et d'enjeux), 24 courses au trot monté seront supprimées (32 à 28,6 %) et se disputeront dans l'autre spécialité à l'occasion de quatre mois de compétition où auront lieu 11 groupes I, 75 événements (plutôt sur 2.100 mètres - autostart - que sur les 2.175 mètres - départ volté - de la grande piste), 135 courses européennes (102 à l'attelé - 33 sous la selle) et 25 courses internationales. La moyenne globale des allocations sera de 49.094 euros (contre 54.557 euros en 2018/2019) et le Prix de Blois (remporté en 2010 par Punchy) sera rebaptisé Prix Jean Boillereau
