Accueil
Côté Pros.
Dorice Mulot fera partie des onze jockeys à disputer le Prix Eliane de Bellaigue ce vendredi soir à Vincennes, la seule et unique épreuve réservée aux amateurs à se disputer sous la selle sur le plateau de Gravelle. La jeune femme de 27 ans a déjà signé douze victoires en province, mais elle n’a encore jamais triomphé dans le temple du trot. “Avant le coup, Chef du Trésor et Caroline Beiléard détiennent une première chance je pense, mais mon partenaire Dreamer Angele devrait bien se défendre”, analyse la jeune cavalière, qui dispute de plus en plus régulièrement les courses montées réservées aux amateurs depuis trois ans. Parée de la casaque de son père, Éric Mulot, qui est également l’éleveur du fils de Cygnus d’Odyssée, elle va savourer pleinement cette apparition à Vincennes. “Je monte depuis toujours en CSO et la compétition me passionne, mais si je monte en amateurs depuis une dizaine d’années, c’est avant tout pour me faire plaisir. C’est Valéry Goetz qui m’a initié à ce milieu et mon père a investi petit à petit dans les trotteurs afin que l’on partage ensemble cette passion. Courir à Paris, avec un cheval qui porte sa casaque, va donc être un vrai bon moment vendredi soir...”
Passionnée, Dorice Mulot l’est en effet. Après cinq ans de formation à Bois-Guillaume, près de Rouen, suite à son baccalauréat, la jeune femme est ostéopathe animalier. Depuis trois ans à son propre compte, elle travaille désormais de plus en plus avec les chevaux, tout particulièrement dans le milieu de la compétition avec les chevaux de CSO et les chevaux de course.
“Beaucoup d’entraîneurs de trotteurs me font de plus en plus confiance et je tiens à les en remercier, car ils représentent désormais le plus gros de ma clientèle. L’ostéopathie sert beaucoup pour se préparer physiquement et pour récupérer plus rapidement, mais elle aide également pour les problèmes locomoteurs et pour le bien-être et le confort des chevaux en général.”
Très mobile, Dorice Mulot travaille en Normandie et dans l’ouest de la France, mais elle inspire à étendre son champ d’action jusqu’au centre d’entraînement de Grosbois à court terme. L’une de ses plus belles satisfactions professionnelles jusqu’à présent est de s’être occupée en France, durant deux hivers, du champion suédois Readly Express. Habituée à travailler dans l’ombre, elle sera ce vendredi soir durant quelques minutes sous la lumière des projecteurs de Vincennes.
Dorice Mulot fera partie des onze jockeys à disputer le Prix Eliane de Bellaigue ce vendredi soir à Vincennes, la seule et unique épreuve réservée aux amateurs à se disputer sous la selle sur le plateau de Gravelle. La jeune femme de 27 ans a déjà signé douze victoires en province, mais elle n’a encore jamais triomphé dans le temple du trot. “Avant le coup, Chef du Trésor et Caroline Beiléard détiennent une première chance je pense, mais mon partenaire Dreamer Angele devrait bien se défendre”, analyse la jeune cavalière, qui dispute de plus en plus régulièrement les courses montées réservées aux amateurs depuis trois ans. Parée de la casaque de son père, Éric Mulot, qui est également l’éleveur du fils de Cygnus d’Odyssée, elle va savourer pleinement cette apparition à Vincennes. “Je monte depuis toujours en CSO et la compétition me passionne, mais si je monte en amateurs depuis une dizaine d’années, c’est avant tout pour me faire plaisir. C’est Valéry Goetz qui m’a initié à ce milieu et mon père a investi petit à petit dans les trotteurs afin que l’on partage ensemble cette passion. Courir à Paris, avec un cheval qui porte sa casaque, va donc être un vrai bon moment vendredi soir...”
Passionnée, Dorice Mulot l’est en effet. Après cinq ans de formation à Bois-Guillaume, près de Rouen, suite à son baccalauréat, la jeune femme est ostéopathe animalier. Depuis trois ans à son propre compte, elle travaille désormais de plus en plus avec les chevaux, tout particulièrement dans le milieu de la compétition avec les chevaux de CSO et les chevaux de course.
“Beaucoup d’entraîneurs de trotteurs me font de plus en plus confiance et je tiens à les en remercier, car ils représentent désormais le plus gros de ma clientèle. L’ostéopathie sert beaucoup pour se préparer physiquement et pour récupérer plus rapidement, mais elle aide également pour les problèmes locomoteurs et pour le bien-être et le confort des chevaux en général.”
Très mobile, Dorice Mulot travaille en Normandie et dans l’ouest de la France, mais elle inspire à étendre son champ d’action jusqu’au centre d’entraînement de Grosbois à court terme. L’une de ses plus belles satisfactions professionnelles jusqu’à présent est de s’être occupée en France, durant deux hivers, du champion suédois Readly Express. Habituée à travailler dans l’ombre, elle sera ce vendredi soir durant quelques minutes sous la lumière des projecteurs de Vincennes.
