Nous avons appris avec tristesse le décès de Roger Ledoyen à l'âge de 92 ans.
Il avait gagné sa première course à quatorze ans, à Vincennes, alors qu'il effectuait son apprentissage chez Roger Ceran-Maillard. Installé comme entraîneur en 1951 à Ammeville dans le Calvados, il avait remporté le Prix de Buenos-Aires avec son premier bon cheval, Faust VII. Paléo, dont il était l'éleveur et le propriétaire, était l'un des meilleurs éléments de sa génération. Au haras, il a été un très grand étalon. Bon reproducteur lui aussi, son fils, Istraeki, lui avait permis de gagner trois groupes I, sous la selle de Michel Gougeon, les Prix du Président de la République, des Élites et de Normandie mais aussi, à l'attelage, celui d'Été devant Lutin d'Isigny et Jiosco. Ses couleurs avaient triomphé dans le “Cornulier” en 1988, grâce à Podosis, lauréat aussi des “Centaures”, du “Président” et du Prix de Vincennes, toujours associé au regretté Patrick Chéradame. Plus près de nous, Gazouillis lui a apporté de très belles satisfactions.
La cérémonie religieuse sera célébrée le mardi 26 novembre à l'Abbaye de Saint-Pierre-en-Auge (14170) à 10 h 30.
Cet avis tient lieu de faire part.
À son épouse, Thérèse,
À ses enfants, Éric et Marie- Pierre, Yves et Catherine,
À ses petits-enfants, Arnaud et Martina, Laura, Maxime,
À ses arrières-petits-enfants, Lou, Marius et Anna,
Ainsi qu'à toute sa famille,
La rédaction de “Paris-Turf” présente ses sincères condoléances.
Il avait gagné sa première course à quatorze ans, à Vincennes, alors qu'il effectuait son apprentissage chez Roger Ceran-Maillard. Installé comme entraîneur en 1951 à Ammeville dans le Calvados, il avait remporté le Prix de Buenos-Aires avec son premier bon cheval, Faust VII. Paléo, dont il était l'éleveur et le propriétaire, était l'un des meilleurs éléments de sa génération. Au haras, il a été un très grand étalon. Bon reproducteur lui aussi, son fils, Istraeki, lui avait permis de gagner trois groupes I, sous la selle de Michel Gougeon, les Prix du Président de la République, des Élites et de Normandie mais aussi, à l'attelage, celui d'Été devant Lutin d'Isigny et Jiosco. Ses couleurs avaient triomphé dans le “Cornulier” en 1988, grâce à Podosis, lauréat aussi des “Centaures”, du “Président” et du Prix de Vincennes, toujours associé au regretté Patrick Chéradame. Plus près de nous, Gazouillis lui a apporté de très belles satisfactions.
La cérémonie religieuse sera célébrée le mardi 26 novembre à l'Abbaye de Saint-Pierre-en-Auge (14170) à 10 h 30.
Cet avis tient lieu de faire part.
À son épouse, Thérèse,
À ses enfants, Éric et Marie- Pierre, Yves et Catherine,
À ses petits-enfants, Arnaud et Martina, Laura, Maxime,
À ses arrières-petits-enfants, Lou, Marius et Anna,
Ainsi qu'à toute sa famille,
La rédaction de “Paris-Turf” présente ses sincères condoléances.