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Ouvrir le Grand Prix d'Amérique aux hongres, l'éternel débat. L'opinion majoritaire pencherait pour une “protection” des mâles jusqu'au Critérium des 5 Ans et ensuite vers un élargissement du programme à tous les trotteurs, quel que soit leur statut. Un risque...
Après la nouvelle démonstration de Cleangame dimanche, un sentiment de frustration ressurgit. Mais le malheur des uns, ceux qui privilégient le caractère sportif avec le désir de voir s'affronter les meilleurs le dernier dimanche de janvier, fait le bonheur des autres, ceux qui ont la chance de côtoyer tous ces champions privés de leurs attributs dans les quatre coins de la France. Car il ne faut pas se voiler la face. Si le calendrier des groupes I s'ouvrait à tous les trotteurs d'âge, les engagements provinciaux disparaîtraient au profit d'échéances parisiennes plus rémunératrices. À l'heure où la politique de reconquête consiste à ramener du monde sur les hippodromes, ce profond changement ne serait certainement pas du goût des sociétés de province et de leur clientèle. Je me souviens encore de la venue d'Iris de Vandel à Laval au début des années 1980. Le petit phénomène de Roland Dersoir avait été accueilli comme une véritable star. Et puis, il y a eu l'ère Général du Lupin. Quand vous pensez que la vedette des frères Marmion s'est illustrée sur dix-neuf hippodromes régionaux différents ! D'Amiens à Cagnes, en passant par Pornichet et Lyon-Parilly. Personne n'a oublié les shows de Rapide Lebel. Et plus près de nous, Aubrion duGers, vu à son avantage sur onze théâtres régionaux, et Cleangame, couronné sur dix sites “de campagne” en moins de deux ans, ont déchaîné les passions hors de la capitale. Il est fort à parier que tous ces joyaux adulés ne se seraient pas autant déplacés s'ils étaient restés “entier”. Une solution pour contenter tout un chacun ? Pourquoi ne pas ajouter la Clôture du GNT à la liste des épreuves qualificatives au Grand Prix d'Amérique. Et si le vainqueur était un hongre... Super alors !
Après la nouvelle démonstration de Cleangame dimanche, un sentiment de frustration ressurgit. Mais le malheur des uns, ceux qui privilégient le caractère sportif avec le désir de voir s'affronter les meilleurs le dernier dimanche de janvier, fait le bonheur des autres, ceux qui ont la chance de côtoyer tous ces champions privés de leurs attributs dans les quatre coins de la France. Car il ne faut pas se voiler la face. Si le calendrier des groupes I s'ouvrait à tous les trotteurs d'âge, les engagements provinciaux disparaîtraient au profit d'échéances parisiennes plus rémunératrices. À l'heure où la politique de reconquête consiste à ramener du monde sur les hippodromes, ce profond changement ne serait certainement pas du goût des sociétés de province et de leur clientèle. Je me souviens encore de la venue d'Iris de Vandel à Laval au début des années 1980. Le petit phénomène de Roland Dersoir avait été accueilli comme une véritable star. Et puis, il y a eu l'ère Général du Lupin. Quand vous pensez que la vedette des frères Marmion s'est illustrée sur dix-neuf hippodromes régionaux différents ! D'Amiens à Cagnes, en passant par Pornichet et Lyon-Parilly. Personne n'a oublié les shows de Rapide Lebel. Et plus près de nous, Aubrion duGers, vu à son avantage sur onze théâtres régionaux, et Cleangame, couronné sur dix sites “de campagne” en moins de deux ans, ont déchaîné les passions hors de la capitale. Il est fort à parier que tous ces joyaux adulés ne se seraient pas autant déplacés s'ils étaient restés “entier”. Une solution pour contenter tout un chacun ? Pourquoi ne pas ajouter la Clôture du GNT à la liste des épreuves qualificatives au Grand Prix d'Amérique. Et si le vainqueur était un hongre... Super alors !
