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Jusqu'au 13 mars 2020, les trotteurs s'affrontent sur la piste de l'hippodrome de la Côte d'Azur lors du traditionnel meeting d'hiver. Mardi, un Quinté+ est au menu ; voici quelques conseils pour dénicher des gagnants.
• Favorisez les entraîneurs sur place. Certains entraîneurs officient juste à côté de l'hippodrome. Ils connaissent la piste mieux que quiconque. C'est le cas de Nicolas Ensch, vainqueur du Prix de la Côte d'Azur le 9 janvier dernier. Yannick-Alain Briand, les frères Martens, Romuald Mourice ou encore Jean-Marie Roubaud font aussi de ce meeting un objectif.
L'an passé, Yannick-Alain Briand a totalisé 24 victoires devant Romuald Mourice (23 succès).
• Le changement d'environnement est souvent bénéfique.
Les chevaux d'âge qui font leur apparition sur la Côte d'Azur trouvent souvent une seconde jeunesse. à l'image d'Elsa de Belfonds, qui s'est tout de suite adaptée aux courses disputées dans le Sud-Est. Elle n'est pas la seule à s'y plaire, citons d'autres trotteurs bien connus des turfistes comme Visitor, Callijo Delbi, mais aussi Apollon d'Anjou, ce dernier ayant été acheté dans un réclamer en Normandie.
• Les chevaux durs à l'effort sont avantagés.
Les parcours les plus usités sur l'hippodrome de Cagnes-sur -Mer sont les 2.150 et 2.950 mètres (et moins souvent les 1.609 mètres). Ces deux distances obligent beaucoup de tenue et de dureté. La piste cagnoise est longue de 1.300 mètres avec une ligne droite de 275 mètres.
Les chevaux compliqués qui prennent leur temps en début de course ne sont pas désavantagés, bien au contraire. Plusieurs longues portions sont proposées pour se rapprocher. En revanche, un trotteur doté de peu de tenue finira péniblement ces parcours exigeants. Auparavant, il y avait plus de différences entre la région parisienne et Cagnes. Ces dernières années, on remarque que
la concurrence est devenue rude dans le Sud Est - le niveau s'est amélioré - les réductions kilométriques affichées en sont la preuve...
• Favorisez les entraîneurs sur place. Certains entraîneurs officient juste à côté de l'hippodrome. Ils connaissent la piste mieux que quiconque. C'est le cas de Nicolas Ensch, vainqueur du Prix de la Côte d'Azur le 9 janvier dernier. Yannick-Alain Briand, les frères Martens, Romuald Mourice ou encore Jean-Marie Roubaud font aussi de ce meeting un objectif.
L'an passé, Yannick-Alain Briand a totalisé 24 victoires devant Romuald Mourice (23 succès).
• Le changement d'environnement est souvent bénéfique.
Les chevaux d'âge qui font leur apparition sur la Côte d'Azur trouvent souvent une seconde jeunesse. à l'image d'Elsa de Belfonds, qui s'est tout de suite adaptée aux courses disputées dans le Sud-Est. Elle n'est pas la seule à s'y plaire, citons d'autres trotteurs bien connus des turfistes comme Visitor, Callijo Delbi, mais aussi Apollon d'Anjou, ce dernier ayant été acheté dans un réclamer en Normandie.
• Les chevaux durs à l'effort sont avantagés.
Les parcours les plus usités sur l'hippodrome de Cagnes-sur -Mer sont les 2.150 et 2.950 mètres (et moins souvent les 1.609 mètres). Ces deux distances obligent beaucoup de tenue et de dureté. La piste cagnoise est longue de 1.300 mètres avec une ligne droite de 275 mètres.
Les chevaux compliqués qui prennent leur temps en début de course ne sont pas désavantagés, bien au contraire. Plusieurs longues portions sont proposées pour se rapprocher. En revanche, un trotteur doté de peu de tenue finira péniblement ces parcours exigeants. Auparavant, il y avait plus de différences entre la région parisienne et Cagnes. Ces dernières années, on remarque que
la concurrence est devenue rude dans le Sud Est - le niveau s'est amélioré - les réductions kilométriques affichées en sont la preuve...
