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Disparu à 98 ans, mardi à Nice, Freddy Palmer a non seulement été un grand jockey, un entraîneur de talent, à la réussite internationale, mais il a surtout été un homme bien, tout simplement.
Comme Freddy Palmer, lui-même, l'avait été avec son frère aîné André, Patrick Monfort et Jean-Claude Rouget ont été à bonne école avec cette légende des courses et ne tarissent pas d'éloges à son sujet :
“Freddy Palmer était un grand Monsieur, nous a confié Patrick Monfort. Il fait partie des personnes que l'on n'oublie pas. J'ai débarqué à 9 ans à Chantilly où je ne connaissais personne. Par des intermédiaires, je suis rentré à son service et j'y suis resté cinq ans. Il était toujours prêt à vous donner des conseils. C'était un homme simple, très humble et agréable à côtoyer. J'ai d'ailleurs toujours gardé de bons contacts avec lui. Tous les hivers, j'allais le voir à Nice. Pour l'anecdote, j'ai gagné un Prix Freddy Palmer en 2011 pour la casaque De Waele. Cela a fait partie des bons moments passés sur les hippodromes. À cheval, il était super et, quand il vous parlait d'une course, il savait de quoi il en retournait. Il avait beaucoup de classe. On parlait régulièrement de ce grand Monsieur avec Jean-Claude.”
Jean-Claude Rouget a, en effet, passé deux saisons entières à ses côtés, entre 1975 et 1977 : “Je n'en garde que de bons souvenirs, se rappelle-t-il. Il était d'une gentillesse extrême, intelligent et surtout modeste. Un peu comme mon père, il entraînait dans la simplicité, ce qui est une qualité pour moi. Il ne cherchait pas là où il n'y avait pas à chercher et ne se perdait pas dans les détails. C'était un plaisir pour lui d'entraîner, d'aller voir ses chevaux courir, toujours accompagné de “Nadette”. J'allais les voir tous les hivers à Nice, comme le 14 février dernier, et je vais continuer à rendre visite à Mme Palmer. Ils étaient devenus des amis. Discret, Freddy était toujours dans le sourire et je ne lui connaissais pas beaucoup d'ennemis.”
Toute l'équipe de “Paris-Turf” présente à sa femme Bernadette et à sa famille, ses plus sincères condoléances.
Comme Freddy Palmer, lui-même, l'avait été avec son frère aîné André, Patrick Monfort et Jean-Claude Rouget ont été à bonne école avec cette légende des courses et ne tarissent pas d'éloges à son sujet :
“Freddy Palmer était un grand Monsieur, nous a confié Patrick Monfort. Il fait partie des personnes que l'on n'oublie pas. J'ai débarqué à 9 ans à Chantilly où je ne connaissais personne. Par des intermédiaires, je suis rentré à son service et j'y suis resté cinq ans. Il était toujours prêt à vous donner des conseils. C'était un homme simple, très humble et agréable à côtoyer. J'ai d'ailleurs toujours gardé de bons contacts avec lui. Tous les hivers, j'allais le voir à Nice. Pour l'anecdote, j'ai gagné un Prix Freddy Palmer en 2011 pour la casaque De Waele. Cela a fait partie des bons moments passés sur les hippodromes. À cheval, il était super et, quand il vous parlait d'une course, il savait de quoi il en retournait. Il avait beaucoup de classe. On parlait régulièrement de ce grand Monsieur avec Jean-Claude.”
Jean-Claude Rouget a, en effet, passé deux saisons entières à ses côtés, entre 1975 et 1977 : “Je n'en garde que de bons souvenirs, se rappelle-t-il. Il était d'une gentillesse extrême, intelligent et surtout modeste. Un peu comme mon père, il entraînait dans la simplicité, ce qui est une qualité pour moi. Il ne cherchait pas là où il n'y avait pas à chercher et ne se perdait pas dans les détails. C'était un plaisir pour lui d'entraîner, d'aller voir ses chevaux courir, toujours accompagné de “Nadette”. J'allais les voir tous les hivers à Nice, comme le 14 février dernier, et je vais continuer à rendre visite à Mme Palmer. Ils étaient devenus des amis. Discret, Freddy était toujours dans le sourire et je ne lui connaissais pas beaucoup d'ennemis.”
Toute l'équipe de “Paris-Turf” présente à sa femme Bernadette et à sa famille, ses plus sincères condoléances.
