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Jeudi à Ascot. Ils sont nombreux à avoir remporté l’Ascot Gold Cup à deux reprises, mais seuls Sagaro, Yeats et maintenant Stradivarius ont réussi la passe de trois dans l’épreuve phare de Royal Ascot.
Avant jeudi, certains émettaient des doutes sur la capacité de Stradivarius à pouvoir gérer le terrain assoupli. Mais de ses trois victoires, cette dernière est sans aucun doute possible la plus facile, la plus impressionnante, la plus mémorable. Un changement de main de la part de Frankie Dettori a suffi pour lancer ce beau fils de Sea The Stars et qu’il “s’envole” dans la phase finale, laissant ses adversaires loin derrière lui. “J’ai été surpris quand j’ai regardé par-dessus l’épaule, à huit cents mètres du but, en voyant tout le monde déjà en difficulté, explique Frankie Dettori. J’ai donc pris Ryan (Moore) en point de mire et il s’est lancé à sa poursuite sans hésiter.” Au final, dix longueurs séparent le vainqueur de Nayef Road et Ryan Moore sur le poteau, tandis que Cross Countertermine troisième. “Il a battu des très bons chevaux dans sa carrière, ajoute son entraîneur, John Gosden. C’est un succès mérité pour son éleveur et propriétaire, Bjorn Nielsen.” Si la Goodwood Cup pourrait être son prochain objectif, John Gosden voit déjà plus loin quand il précise : “Il a livré une superbe performance dans la Coronation Cup, peut-être qu'un “Arc” dans un terrain d’automne n’est pas exclu.”
La casaque de Cheikh Hamdan Al Maktoum a été à l’honneur de ce Royal Ascot 2020 pour la cinquième fois quand Molatham a triomphé devant Monarch of Egypt dans les Jersey Stakes, où Célestin, le pensionnaire de Fabrice Chappet, a terminé cinquième après avoir été malheureux au moment de l’accélération. “Une course comme le Prix Jean Prat pourrait figurer sur le programme de Molatham”, déclarait l’entraîneur Roger Varian. Notons que ce dernier a également sellé Khaloosy, le vainqueur des Britannia Stakes, offrant un sixième succès à Royal Ascot à son jockey, Jim Crowley, et son propriétaire Cheikh Hamdan.
Avant jeudi, certains émettaient des doutes sur la capacité de Stradivarius à pouvoir gérer le terrain assoupli. Mais de ses trois victoires, cette dernière est sans aucun doute possible la plus facile, la plus impressionnante, la plus mémorable. Un changement de main de la part de Frankie Dettori a suffi pour lancer ce beau fils de Sea The Stars et qu’il “s’envole” dans la phase finale, laissant ses adversaires loin derrière lui. “J’ai été surpris quand j’ai regardé par-dessus l’épaule, à huit cents mètres du but, en voyant tout le monde déjà en difficulté, explique Frankie Dettori. J’ai donc pris Ryan (Moore) en point de mire et il s’est lancé à sa poursuite sans hésiter.” Au final, dix longueurs séparent le vainqueur de Nayef Road et Ryan Moore sur le poteau, tandis que Cross Countertermine troisième. “Il a battu des très bons chevaux dans sa carrière, ajoute son entraîneur, John Gosden. C’est un succès mérité pour son éleveur et propriétaire, Bjorn Nielsen.” Si la Goodwood Cup pourrait être son prochain objectif, John Gosden voit déjà plus loin quand il précise : “Il a livré une superbe performance dans la Coronation Cup, peut-être qu'un “Arc” dans un terrain d’automne n’est pas exclu.”
La casaque de Cheikh Hamdan Al Maktoum a été à l’honneur de ce Royal Ascot 2020 pour la cinquième fois quand Molatham a triomphé devant Monarch of Egypt dans les Jersey Stakes, où Célestin, le pensionnaire de Fabrice Chappet, a terminé cinquième après avoir été malheureux au moment de l’accélération. “Une course comme le Prix Jean Prat pourrait figurer sur le programme de Molatham”, déclarait l’entraîneur Roger Varian. Notons que ce dernier a également sellé Khaloosy, le vainqueur des Britannia Stakes, offrant un sixième succès à Royal Ascot à son jockey, Jim Crowley, et son propriétaire Cheikh Hamdan.
