Quels sont les drivers que les turfistes aiment jouer? Quels sont les professionnels sur lesquels les joueurs ne parient jamais? Ces questions, nous les avons posées cette semaine à des habitués de l’hippodrome de Vincennes, sans proposer de liste et, surtout, sans influencer les personnes interrogées. Les réponses sont sans surprise, quoique… S’ils sont nombreux à se baser uniquement sur la valeur des chevaux pour établir leur jeu, beaucoup d’autres parient (ou pas) sur certains pilotes pour des raisons précises et pertinentes.
Les drivers que les turfistes aiment jouer. Le classement n’a rien d’étonnant. Les drivers qui trustent traditionnellement les lauriers sont les chouchous du public. Franck Nivard, Eric Raffin et Jean-Michel Bazire occupent les trois premières places de ce classement et se tiennent dans un mouchoir : « Je préfère Franck Nivard, mais Jean-Michel Bazire aussi est un crack, estime David de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). Faire un choix entre eux est difficile. C’est un peu comme de trancher entre les Beatles et les Rolling Stones. » Franck Nivard fait légèrement la différence, car « il fait l’arrivée à toutes les cotes », selon William de Vigneux-sur-Seine (Essonne). « Et il ne fait pas mal aux chevaux », ajoute Pascal de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Tout juste vainqueur de sa 1 000e course au trot attelé, Eric Raffin est apprécié par Daniel, de Paris XIVe : « Il va devant pour assurer le coup. » Stéphane (Paris XIe) voit en lui « l’homme des grands événements ».
Pour Quentin, de Fontenay-aux-Roses, l’hésitation n’est pas permise. Il vote Jean-Michel Bazire : « Quand il drive, on sait qu’il va faire la course. Ce n’est pas le cas de tout le monde. » Le Sulky d’or recueille aussi les suffrages de la gent féminine : « Il me fait gagner plus que les autres », s’enflamme Danièle de Paris XIXe.
Derrière les vedettes, beaucoup d’autres drivers (Dominik Locqueneux, Bernard Piton, Pierre Vercruysse, Alain Laurent, Romain Larue…) sont cités, notamment, « car ils permettent de toucher de belles cotes ».
Les drivers que les turfistes ne jouent jamais. La première place de Jean-Michel Bazire peut sembler étonnante. Son talent, n’est pas remis en cause, c’est même l’inverse. Nino, de Paris XVIIe, résume assez bien le sentiment général : « Je suis bien obligé de le mettre dans mes jeux combinés mais, en simple, je ne le joue jamais, car il est trop souvent favori. » Plus surprenante est la 2e place de Jos Verbeeck : « insaisissable » pour les uns et « trop souvent au galop » pour les autres. Globalement, les turfistes n’ont pas la dent dure avec les drivers. De nombreux turfistes se refusent même à citer des noms. C’est la famille Dubois qui enregistre les commentaires les plus acerbes : « Elle est difficile à cerner et on manque d’informations », peste Ludovic de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis). Plus gênant, Daniel, de Joinville-le-Pont, a « l’impression que cette famille se moque des parieurs ».
Les drivers que les turfistes aiment jouer. Le classement n’a rien d’étonnant. Les drivers qui trustent traditionnellement les lauriers sont les chouchous du public. Franck Nivard, Eric Raffin et Jean-Michel Bazire occupent les trois premières places de ce classement et se tiennent dans un mouchoir : « Je préfère Franck Nivard, mais Jean-Michel Bazire aussi est un crack, estime David de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). Faire un choix entre eux est difficile. C’est un peu comme de trancher entre les Beatles et les Rolling Stones. » Franck Nivard fait légèrement la différence, car « il fait l’arrivée à toutes les cotes », selon William de Vigneux-sur-Seine (Essonne). « Et il ne fait pas mal aux chevaux », ajoute Pascal de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Tout juste vainqueur de sa 1 000e course au trot attelé, Eric Raffin est apprécié par Daniel, de Paris XIVe : « Il va devant pour assurer le coup. » Stéphane (Paris XIe) voit en lui « l’homme des grands événements ».
Pour Quentin, de Fontenay-aux-Roses, l’hésitation n’est pas permise. Il vote Jean-Michel Bazire : « Quand il drive, on sait qu’il va faire la course. Ce n’est pas le cas de tout le monde. » Le Sulky d’or recueille aussi les suffrages de la gent féminine : « Il me fait gagner plus que les autres », s’enflamme Danièle de Paris XIXe.
Derrière les vedettes, beaucoup d’autres drivers (Dominik Locqueneux, Bernard Piton, Pierre Vercruysse, Alain Laurent, Romain Larue…) sont cités, notamment, « car ils permettent de toucher de belles cotes ».
Les drivers que les turfistes ne jouent jamais. La première place de Jean-Michel Bazire peut sembler étonnante. Son talent, n’est pas remis en cause, c’est même l’inverse. Nino, de Paris XVIIe, résume assez bien le sentiment général : « Je suis bien obligé de le mettre dans mes jeux combinés mais, en simple, je ne le joue jamais, car il est trop souvent favori. » Plus surprenante est la 2e place de Jos Verbeeck : « insaisissable » pour les uns et « trop souvent au galop » pour les autres. Globalement, les turfistes n’ont pas la dent dure avec les drivers. De nombreux turfistes se refusent même à citer des noms. C’est la famille Dubois qui enregistre les commentaires les plus acerbes : « Elle est difficile à cerner et on manque d’informations », peste Ludovic de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis). Plus gênant, Daniel, de Joinville-le-Pont, a « l’impression que cette famille se moque des parieurs ».