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Guillaume Macaire a marqué de son empreinte la réunion de dimanche dernier à Auteuil
Les Tops de la semaine :
+ Le grand show de Macaire
La dernière réunion dominicale sur la butte Mortemart a donné lieu à du grand Macaire ! Non seulement sur la piste, où les attachants Bel la Vie et Corscia ont remporté avec la manière deux des trois groupes du jour, mais aussi dans le cercle des vainqueurs. Que ce soit au micro de l’hippodrome, d’Equidia ou devant les journalistes de la presse écrite, le professionnel royannais nous a gratifiés de quelques “sorties médiatiques” dont il a le secret. On a déjà hâte d’être en 2017 pour retrouver le sémillant entraîneur.
+ Les papys font de la résistance
À eux deux, ils ont vingt ans. Bel la Vie et Shannon Rock, le jumelé du Prix Georges Courtois, ont prouvé qu’ils faisaient encore partie, à 10 ans, des meilleurs steeple-chasers en France. Une longévité appréciée par les turfistes, heureux de les retrouver aux prises dans la phase finale. N’oublions pas que ces champions hongres sont plus connus des turfistes français que les gagnants classiques en plat... Faites le test !
+ Le Japon fait toujours recette
120.000 personnes s’étaient amassées sur l’hippodrome de Tokyo, dimanche dernier, pour assister à la Japan Cup. Un engouement spectaculaire qui mérite d’être analysé de près à l’heure où les acteurs du monde hippique ont le moral en berne. Rappelons que le Japon, roi du pari mutuel, est le pays qui génère le plus d’enjeux hippiques, avec des réunions de courses uniquement le week-end.
Les Flops de la semaine :
- Les courses quasi absentes du Salon du Cheval
L'AFASEC, l'école des jockeys, est le seul représentant des courses au Salon du Cheval qui ferme ses portes dimanche. Et elle s'est sentie bien seule. Certes, Equidia Life (pas Live) était aussi présent, en retransmettant les courses, mais pas de sociétés mères, pas de Fédération des Courses, pas de PMU, pas d'opérateurs en ligne. Le fossé entre le cheval de sport et de course se creuse.
- Blackout à Amiens
Un incident technique a privé l'hippodrome d'Amiens de lumière pendant la troisième course de la réunion de mercredi soir. Un problème analogue avait déjà eu lieu lors de la nocturne du 8 octobre. Les trotteurs, qui avaient dû rentrer aux écuries après avoir parcouru 1.000 mètres, ont dû se ranger derrière l'autostart deux heures plus tard, ce qui n'a pas fait les affaires de toutes les concurrentes, à l'image de Claire du Génie, bien partie lors du premier départ, mais fautive lors du second. Les professionnels ont aussi regretté la piste trop dure, qui soulève la question des nocturnes en Picardie et dans le Nord à cette période de l'année.
- Un coche de manqué
Si France Galop a eu la bonne idée de permettre qu'un handicap soit divisé en six épreuves le 29 novembre, à Deauville, le coche a été manqué le samedi 26 à Bordeaux. Avec 50 chevaux déclarés partants, il y avait de quoi faire trois épreuves et éviter une grande partie des 18 éliminations. La recette n'en aurait pas pâti - au contraire - et l'image du Sud-Ouest aurait été améliorée ; désormais, on ne peut plus reprocher à la région de ne pas organiser suffisamment de courses à plus de 7 partants.
Les Tops de la semaine :
+ Le grand show de Macaire
La dernière réunion dominicale sur la butte Mortemart a donné lieu à du grand Macaire ! Non seulement sur la piste, où les attachants Bel la Vie et Corscia ont remporté avec la manière deux des trois groupes du jour, mais aussi dans le cercle des vainqueurs. Que ce soit au micro de l’hippodrome, d’Equidia ou devant les journalistes de la presse écrite, le professionnel royannais nous a gratifiés de quelques “sorties médiatiques” dont il a le secret. On a déjà hâte d’être en 2017 pour retrouver le sémillant entraîneur.
+ Les papys font de la résistance
À eux deux, ils ont vingt ans. Bel la Vie et Shannon Rock, le jumelé du Prix Georges Courtois, ont prouvé qu’ils faisaient encore partie, à 10 ans, des meilleurs steeple-chasers en France. Une longévité appréciée par les turfistes, heureux de les retrouver aux prises dans la phase finale. N’oublions pas que ces champions hongres sont plus connus des turfistes français que les gagnants classiques en plat... Faites le test !
+ Le Japon fait toujours recette
120.000 personnes s’étaient amassées sur l’hippodrome de Tokyo, dimanche dernier, pour assister à la Japan Cup. Un engouement spectaculaire qui mérite d’être analysé de près à l’heure où les acteurs du monde hippique ont le moral en berne. Rappelons que le Japon, roi du pari mutuel, est le pays qui génère le plus d’enjeux hippiques, avec des réunions de courses uniquement le week-end.
Les Flops de la semaine :
- Les courses quasi absentes du Salon du Cheval
L'AFASEC, l'école des jockeys, est le seul représentant des courses au Salon du Cheval qui ferme ses portes dimanche. Et elle s'est sentie bien seule. Certes, Equidia Life (pas Live) était aussi présent, en retransmettant les courses, mais pas de sociétés mères, pas de Fédération des Courses, pas de PMU, pas d'opérateurs en ligne. Le fossé entre le cheval de sport et de course se creuse.
- Blackout à Amiens
Un incident technique a privé l'hippodrome d'Amiens de lumière pendant la troisième course de la réunion de mercredi soir. Un problème analogue avait déjà eu lieu lors de la nocturne du 8 octobre. Les trotteurs, qui avaient dû rentrer aux écuries après avoir parcouru 1.000 mètres, ont dû se ranger derrière l'autostart deux heures plus tard, ce qui n'a pas fait les affaires de toutes les concurrentes, à l'image de Claire du Génie, bien partie lors du premier départ, mais fautive lors du second. Les professionnels ont aussi regretté la piste trop dure, qui soulève la question des nocturnes en Picardie et dans le Nord à cette période de l'année.
- Un coche de manqué
Si France Galop a eu la bonne idée de permettre qu'un handicap soit divisé en six épreuves le 29 novembre, à Deauville, le coche a été manqué le samedi 26 à Bordeaux. Avec 50 chevaux déclarés partants, il y avait de quoi faire trois épreuves et éviter une grande partie des 18 éliminations. La recette n'en aurait pas pâti - au contraire - et l'image du Sud-Ouest aurait été améliorée ; désormais, on ne peut plus reprocher à la région de ne pas organiser suffisamment de courses à plus de 7 partants.
